The Wicked Lady

Name: Wicked Lady, The
Director: Michael Winner
Genre: Mélodrame
Duration: 98 min.

G.-B. 1982. Mélodrame de Michael Winner avec Faye Dunaway, Tony Banks, Jack Cardiff. Au XVIIe siècle, une jeune femme mariée à un gentilhomme campagnard devient la maîtresse d'un bandit notoire. Remake d'un film populaire des années 1940. Traitement outrancier. Mise en images assez luxueuse. Jeu appuyé de F. Dunaway.

The Wicked Lady (The Wicked Lady)

13 ans + (érotisme)

G.-B. 1982. Mélodrame de Michael Winner avec Faye Dunaway, Tony Banks, Jack Cardiff.

Au XVIIe siècle, une jeune femme mariée à un gentilhomme campagnard devient la maîtresse d'un bandit notoire. Remake d'un film populaire des années 1940. Traitement outrancier. Mise en images assez luxueuse. Jeu appuyé de F. Dunaway.

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Genre :

Mélodrame

Année :

1982

Durée :

98 min.

Réalisation :

Michael Winner

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

United Artists

Interprètes :

Faye Dunaway
Tony Banks
Jack Cardiff
Alan Bates
Denholm Elliott
John Gielgud
Prunella Scales
Oliver Tobias

Au XVIIe siècle, une jeune femme, Barbara, invitée au mariage de son amie Caroline avec un gentilhomme campagnard, Ralph Skelton ne tarde pas à séduire le futur époux. Si bien que c'est elle qui devient Lady Skelton. Vite saisie par l'ennui, elle fait chambre à part et sort clandestinement la nuit pour courir l'aventure comme voleur de grand chemin. Elle se lie avec un bandit notoire, Gerry Jackson, qui ignore qui elle est. Trahi par sa belle amie, Jackson est condamné à la pendaison, mais il échappe de justesse à la mort et retrouve Barbara dans le manoir de son mari.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il s'agit là d'un "remake" d'un film populaire anglais des années 1940. La nouvelle version suit d'assez près le scénario original quitte à l'orienter vers la truculence. Conscient sans doute du romantisme désuet de l'intrigue, Winner semble s'être appliqué à en caricaturer les données par une outrance consciente tant dans la narration que dans l'illustration. La mise en images est souvent luxueuse mais cet emballage séduisant recouvre un bien pauvre contenu. Faye Dunaway a un jeu appuyé qui paraît plus bizarre que convaincant.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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