Rue de la sardine (Cannery Row)

Name: Rue de la sardine
Director: David S. Ward
Genre: Comédie dramatique
Duration: 120 min.

É.-U. 1982. Comédie dramatique de David S. Ward avec Nick Nolte, Debra Winger, M. Emmet Walsh. Un ancien joueur de baseball dirige un laboratoire de zoologie marine dans un quartier habité par des clochards. Adaptation appliquée d'un roman de John Steinbeck. Pittoresque un peu trop recherché. Mise en scène assez souple. Ensemble artificiel. Interprétation chargée.

Rue de la sardine (Cannery Row)

Général

É.-U. 1982. Comédie dramatique de David S. Ward avec Nick Nolte, Debra Winger, M. Emmet Walsh.

Un ancien joueur de baseball dirige un laboratoire de zoologie marine dans un quartier habité par des clochards. Adaptation appliquée d'un roman de John Steinbeck. Pittoresque un peu trop recherché. Mise en scène assez souple. Ensemble artificiel. Interprétation chargée.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1982

Durée :

120 min.

Réalisation :

David S. Ward

Pays :

États-Unis

Distributeur :

United Artists

Interprètes :

Nick Nolte
Debra Winger
M. Emmet Walsh

Un ancien joueur de baseball, Doc, s'est installé un laboratoire de zoologie marine près d'une conserverie désaffectée sur la côte du Pacifique. Ses voisins sont des clochards logés tant bien que mal dans des citernes abandonnées. Une maison de passe est installée dans les environs et Doc est en bons termes avec la tenancière qui lui demande de s'intéresser à une nouvelle recrue, Suzy. Les clochards veulent favoriser une idylle, mais leurs efforts sont plus désastreux qu'utiles.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour sa première réalisation, le scénariste David S. Ward s'est inspiré d'un livre écrit par Steinbeck dans les années 40 et a complété son intrigue avec des incidents tirés d'un autre roman du même écrivain, "Sweet Thursday". Pour mieux servir une vision romantique de la mouise, il a fait construire en studio le décor voulu. Il en ressort une certaine impression d'artificialité, d'autant que le pittoresque des personnages est cultivé de façon un peu trop appuyée. La mise en scène ne manque pas de souplesse, mais le récit est anecdotique et l'interprétation d'ensemble verse souvent dans la caricature.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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