Brimstone, pierre qui brûle (Brimstone & Treacle)

Name: Brimstone, pierre qui brûle
Director: Richard Loncraine
Genre: Drame de moeurs
Duration: 87 min.

G.-B. 1982. Drame de moeurs de Richard Loncraine avec Sting, Denholm Elliott, Joan Plowright. Un jeune homme étrange s'impose à un couple d'âge mûr dont la fille est devenue paraplégique après un accident. Récit bizarre conduit avec une certaine rigueur. Mise en scène nerveuse. Variations de ton surprenantes. Bonne composition de Sting.

Brimstone, pierre qui brûle (Brimstone & Treacle)

13 ans +

G.-B. 1982. Drame de moeurs de Richard Loncraine avec Sting, Denholm Elliott, Joan Plowright.

Un jeune homme étrange s'impose à un couple d'âge mûr dont la fille est devenue paraplégique après un accident. Récit bizarre conduit avec une certaine rigueur. Mise en scène nerveuse. Variations de ton surprenantes. Bonne composition de Sting.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1982

Durée :

87 min.

Réalisation :

Richard Loncraine

Scénario :

Dennis Potter
D'après la piéce de Dennis Potter

Photographie :

Peter Hannan

Montage :

Paul Green

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Karim

Interprètes :

Sting
Denholm Elliott
Joan Plowright
Suzanna Hamilton
Dudley Sutton
Mary MacLeod
Tim Preece
Benjamin Whitrow

Un jeune homme étrange, Martin Taylor, s'impose à un couple d'âge mûr, les Bates, dont la fille Patricia est restée inconsciente après un accident, bien qu'elle soit agitée par des spasmes nerveux. La présence de Martin semble calmer la malade; aussi Mme Bates lui offre-t-elle l'hospitalité alors que son mari reste fort réticent. À l'insu de ses hôtes, Martin se permet avec Patricia des privautés qui provoquent des réactions surprenantes. Pris sur le fait, le malotru doit fuir la maison des Bates.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Apparenté au théâtre de l'absurde, ce film propose une sorte de parabole sur l'infiltration du mal et de l'hypocrisie conformiste. Le récit, sans être des plus clairs, est conduit avec une certaine rigueur dans un montage serré où rien n'est laissé au hasard. La placidité apparente de diverses séquences est interrompue à l'occasion par des passages ou se débride une hystérie morbide. La mise en scène ne manque pas de mordant et le chanteur rock surnommé Sting s'affirme bon comédien dans le rôle central.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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