Remarquable

On s'en fout... nous on s'aime

Name: On s'en fout... nous on s'aime
Director: Michel Gérard
Genre: Comédie sentimentale
Duration: 90 min.

Fr. 1982. Comédie sentimentale de Michel Gérard avec Didier Clerc, Ariel Besse, Darry Cowl. Un adolescent s'éprend d'une fille de son âge qui a déjà un petit ami. Suite d'anecdotes insignifiantes. Nombreux clichés. Climat de fausse candeur agaçant. Interprétation artificielle.

On s'en fout... nous on s'aime (On s'en fout... nous on s'aime)

Général

Fr. 1982. Comédie sentimentale de Michel Gérard avec Didier Clerc, Ariel Besse, Darry Cowl.

Un adolescent s'éprend d'une fille de son âge qui a déjà un petit ami. Suite d'anecdotes insignifiantes. Nombreux clichés. Climat de fausse candeur agaçant. Interprétation artificielle.

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Genre :

Comédie sentimentale

Année :

1982

Durée :

90 min.

Réalisation :

Michel Gérard

Scénario :

Michel Gérard
Didier Gérard
Jean-François Navarre

Photographie :

Jean Monsigny

Musique :

Rachid Bahri

Montage :

Gérard Le Du

Pays :

France

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Didier Clerc
Ariel Besse
Darry Cowl
Jean Rougerie
Catherine Lachens
Michel Galabru
Philippe Castelli
Evelyne Grandjean
Colette Castel
Jackie Sardou
Sheila O'Connor
Alain Beigel
Annie Savarin
Bernard Charlan
Jacques Penot

Âgé de dix-sept ans, Julien Salvet est le fils d'un scénariste impécunieux. Il est attiré par Nathalie, une fille de son âge qui a déjà un chevalier servant. Il cherche à la rencontrer, mais celle-ci n'en vient à s'intéresser à lui qu'après une rupture avec son ami. Comme Nathalie a une soeur qui écrit des sketches pour un café-théâtre, le père de Julien fait équipe avec elle pour rajeunir ses scénarios. Les deux adolescents s'arrangent pour passer une nuit ensemble, en cachette de leurs parents. Mais M. Salvet découvre la chose.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Auteur d'une suite de comédies faciles, Michel Gérard (T'ES FOLLE OU QUOI?) a eu l'idée d'illustrer les problèmes des adolescents d'aujourd'hui avec l'aide au scénario de son fils Didier, lui-même âgé de dix-sept ans. Le résultat est loin d'être probant ou éclairant. Les clichés abondent, l'intrigue se disperse en anecdotes insignifiantes et tout baigne dans un climat de fausse candeur qui s'avère plus agaçant qu'attendrissant. Notons un trou narratif d'importance au milieu du film. Les interprètes font ce qu'ils peuvent.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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