Mi-figue, mi-raisin (Nesto izmedju)

Name: Mi-figue, mi-raisin
Director: Srdjan Karanovic
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 106 min.

Youg. 1982. Comédie de moeurs de Srdjan Karanovic avec Caris Corfman, Miki Manojlovic, Dragan Nikolic. De passage à Belgrade, une jeune journaliste américaine est partagée entre deux hommes. Traitement mi-sérieux, mi-comique. Bonne description de milieu. Mise en scène alerte. Interprétation enjouée.

Mi-figue, mi-raisin (Nesto izmedju)

Général

Youg. 1982. Comédie de moeurs de Srdjan Karanovic avec Caris Corfman, Miki Manojlovic, Dragan Nikolic.

De passage à Belgrade, une jeune journaliste américaine est partagée entre deux hommes. Traitement mi-sérieux, mi-comique. Bonne description de milieu. Mise en scène alerte. Interprétation enjouée.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1982

Durée :

106 min.

Réalisation :

Srdjan Karanovic

Musique :

Zoran Simjanovic

Pays :

Yougoslavie

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Caris Corfman
Miki Manojlovic
Dragan Nikolic

Eva, jeune journaliste américaine, se rend à Istanbul pour un reportage. Elle fait escale à Belgrade où elle espère retrouver un camarade d'études, Janko, devenu chirurgien. Mais Janko est absent et c'est son ami Marko, trafiquant désinvolte, qui s'occupe d'Eva et lui fait prendre contact avec la ville. Janko survient, offre à Eva l'hospitalité d'un logement familial plutôt exigu et reprend avec elle une vieille liaison. Eva reste pourtant attirée par Marko. Lorsque Janko offre de l'épouser, elle part pour Istanbul tandis que Marko est victime d'une maîtresse jalouse.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Quoique yougoslave, ce film a été tourné surtout en anglais, mais l'on y entend à l'occasion des dialogues serbo-croates. Ce mélange de cultures est d'ailleurs l'un des charmes du traitement sério-comique de l'intrigue où l'on fait justement état, à travers des personnages symboliques, de tout un brassement socio-culturel propre au milieu décrit. L'action est prestement enlevée et sertie de notations ironiques bien senties. Cela s'alourdit quelque peu vers la fin, sans que l'impression d'ensemble en soit pourtant gâchée. Les interprètes jouent avec l'entrain voulu.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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