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Le Manoir de la peur (House of the Long Shadows)

G.-B. 1982. Drame d'horreur de Pete Walker avec Desi Arnaz Jr., Vincent Price, Christopher Lee. Un écrivain, qui s'est isolé dans un vieux manoir pour écrire un roman, est dérangé par divers intrus. Intrigue désuète chargée de clichés. Effets faciles. Progression peu logique du récit. Interprétation savoureuse.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Le Manoir de la peur (House of the Long Shadows)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

G.-B. 1982. Drame d'horreur de Pete Walker avec Desi Arnaz Jr., Vincent Price, Christopher Lee.

Un écrivain, qui s'est isolé dans un vieux manoir pour écrire un roman, est dérangé par divers intrus. Intrigue désuète chargée de clichés. Effets faciles. Progression peu logique du récit. Interprétation savoureuse.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
CMA
Un écrivain américain, Kenneth Magee, parie avec son éditeur anglais, Sam Allyson, qu'il est capable d'écrire un roman d'atmosphère en vingt-quatre heures en s'isolant dans un vieux manoir du Pays de Galles. Il est vite dérangé cependant par l'intrusion de diverses personnes dont Mary Norton, la secrétaire d'Allyson, qui justifie sa présence par une histoire invraisemblable. Les autres intrus se disent les membres de la famille qui habitait jadis le manoir. Ils sont réunis pour libérer un parent retenu prisonnier depuis quarante ans dans une chambre barricadée. Mais le captif s'est évadé et cherche à exercer sa vengeance sur ses proches.

L’AVIS DE MEDIAFILM

C'est là une adaptation libre d'un roman déjà ancien qui a connu quatre adaptations à l'écran dans les années d'avant-guerre. Les producteurs en ont surtout pris prétexte pour convoquer une réunion de quelques vieilles gloires du cinéma d'horreur. Les comédiens présents au rendez-vous ne se font pas faute de cabotiner avec une certaine saveur. L'intrigue qui les rassemble apparaît cependant désuète et chargée de clichés. Le réalisateur a recours à des effets faciles et néglige quelque peu la progression logique du récit, s'amusant, dans une fin voulue surprenante, à des entourloupettes contradictoires.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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