Le Joujou (The Toy)

É.-U. 1982. Comédie de Richard Donner avec Richard Pryor, Jackie Gleason, Scott Schwartz. Un journaliste dans la dèche accepte de devenir pour une semaine le "jouet" du jeune fils de son patron. Adaptation à l'américaine du film "Le Jouet" de Francis Veber. Traitement lourd. Réalisation technique assez efficace. Interprétation inégale.

Le Joujou (The Toy)

Général

É.-U. 1982. Comédie de Richard Donner avec Richard Pryor, Jackie Gleason, Scott Schwartz.

Un journaliste dans la dèche accepte de devenir pour une semaine le "jouet" du jeune fils de son patron. Adaptation à l'américaine du film "Le Jouet" de Francis Veber. Traitement lourd. Réalisation technique assez efficace. Interprétation inégale.

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Genre :

Comédie

Année :

1982

Durée :

102 min.

Réalisation :

Richard Donner

Scénario :

D'après l'oeuvre de Francis Veber

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Richard Pryor
Jackie Gleason
Scott Schwartz

Un journaliste dans la dèche, Jack Brown, se voit forcé d'accepter un emploi de concierge dans un grand magasin appartenant aux entreprises Bates. Le jeune Eric Bates, fils du président à qui on a permis de choisir ce qu'il voulait comme cadeau dans le rayon des jouets, décide que c'est Jack qu'il veut. Celui-ci accepte contre forte rémunération de se soumettre pour une semaine aux caprices de cet enfant trop gâté. Une certaine affection se développe entre le gamin et son «jouet» car Jack se rend vite compte qu'Eric manque de tendresse véritable.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il s'agit là d'une adaptation à l'américaine du premier film réalisé par le scénariste français Francis Veber, LE JOUET. Les adaptateurs ont forcé encore les situations déjà peu vraisemblables et le ton narquois de l'original est trop souvent remplacé ici par de la pure bouffonnerie. Richard Pryor en fait tant et plus dans le rôle du «jouet» alors que Jackie Gleason se contente trop souvent de rouler de gros yeux, ce qui réduit à peu de chose cet affrontement de comédiens. La réalisation technique ne manque pas de sûreté maïs les tentatives faîtes pour donner au sujet une certaine pertinence sociale ne servent guère qu'à alourdir encore une friandise un peu trop sucrée.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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