Latitude 55°

Name: Latitude 55°
Director: John Juliani
Genre: Drame psychologique
Duration: 100 min.

Can. 1982. Drame psychologique de John Juliani avec Andrée Pelletier, August Schellenberg. D'étranges rapports s'établissent entre une jeune femme et un fermier qui lui a donné refuge lors d'une tempête de neige. Drame intimiste nourri d'éléments énigmatiques et d'allusions mystérieuses. Personnages fortement contrastés. Réalisation parfois maladroite. Interprétation correcte.

Latitude 55° (Latitude 55°)

13 ans +

Can. 1982. Drame psychologique de John Juliani avec Andrée Pelletier, August Schellenberg.

D'étranges rapports s'établissent entre une jeune femme et un fermier qui lui a donné refuge lors d'une tempête de neige. Drame intimiste nourri d'éléments énigmatiques et d'allusions mystérieuses. Personnages fortement contrastés. Réalisation parfois maladroite. Interprétation correcte.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1982

Durée :

100 min.

Réalisation :

John Juliani

Pays :

Canada

Distributeur :

Spectrafilm

Interprètes :

Andrée Pelletier
August Schellenberg

Bloquée en pleine campagne par une tempête de neige, Wanda Woodsworth se réfugie dans son auto en attendant du secours. Survient un fermier qui l'emmène jusqu'à sa maison, une cabane en désordre située non loin. D'étranges rapports s'établissent entre l'homme, un certain Joseph, et la jeune femme, attachée culturelle dans un organisme gouvernemental. Wanda découvre chez son hôte un étrange bric-à-brac d'objets plus ou moins rares dont chacun ouvre de curieuses perspectives sur le passé du possesseur.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Acteur de théâtre réputé de la Côte Ouest, Juliani a tenté là une curieuse expérience cinématographique tablant sur le talent particulier d'Andrée Pelletier, dont il fut le partenaire dans MARIE-ANNE. Il s'agit d'un drame intimiste entre deux personnages fortement contrastés, nourri d'éléments énigmatiques et d'allusions mystérieuses. Un tel mélange peut aussi bien fasciner qu'irriter lé spectateur selon ses dispositions et l'explication finale de ces jeux de cache-cache apparaît vite prévisible à l'observateur attentif. Malgré quelques maladresses, c'est là un exercice de style qui retient l'attention. Les comédiens ont l'occasion de faire montre de savoir-faire.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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