Remarquable

L'As des as

Name: As des as, L'
Director: Gérard Oury
Genre: Comédie
Duration: 104 min.

Fr. 1982. Comédie de Gérard Oury avec Jean-Paul Belmondo, Marie-France Pisier, Rachid Ferrache. Pendant les Jeux Olympiques de Berlin, un entraîneur de boxe français entreprend de sauver une famille juive des Nazis. Récit simplet à l'humour facile. Traitement enlevé. Mise de scène de métier. Interprétation énergique.

L'As des as (L'As des as)

Général

Fr. 1982. Comédie de Gérard Oury avec Jean-Paul Belmondo, Marie-France Pisier, Rachid Ferrache.

Pendant les Jeux Olympiques de Berlin, un entraîneur de boxe français entreprend de sauver une famille juive des Nazis. Récit simplet à l'humour facile. Traitement enlevé. Mise de scène de métier. Interprétation énergique.

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Genre :

Comédie

Année :

1982

Durée :

104 min.

Réalisation :

Gérard Oury

Scénario :

Gérard Oury
Danièle Thompson

Photographie :

Xaver Schwarzenberger

Musique :

Vladimir Cosma

Montage :

Albert Jurgenson

Pays :

France
Allemagne

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Jean-Paul Belmondo
Marie-France Pisier
Rachid Ferrache
Frank Hoffmann
Günter Meisner
Benno Sterzenbach
Yves Pignot
Stéphane Ferrara
Florent Pagny
Jean-Roger Milo
Martin Umbach
Sonja Tuchmann
Michael Gahr

Héros de l'aviation pendant la guerre 14-18, Georges Cavalier est devenu en 1936 entraîneur de l'équipe de boxe représentant la France aux Jeux Olympiques de Berlin. Les circonstances l'amènent à s'occuper d'un jeune garçon juif, Simon Rosenblum, dont la famille vient d'être arrêtée. Cavalier entreprend, avec l'aide d'un ami allemand, de sauver tous les Rosenblum en les faisant passer en Autriche. Mais une erreur d'orientation amène le petit groupe à la résidence en montagne du chancelier Adolf Hitler. Quand il se rend compte de sa méprise, Cavalier ne se tient pourtant pas pour battu.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Réunissant deux valeurs commerciales assurées, le réalisateur Gérard Oury et l'acteur Jean-Paul Belmondo, ce film a brisé les records d'entrées dès ses premiers jours de présentation à Paris. Ce n'est pourtant pas ce que ni l'un ni l'autre ont réussi de mieux; les ficelles du récit apparaissent plutôt grosses et les gags sont souvent d'une facilité déconcertante. Mais une certaine gaieté contagieuse anime tout cela et le récit est mené tambour battant. Belmondo se dépense avec entrain et Marie-France Pisier est d'une finesse discrète en dépit des avanies qu'on lui fait subir.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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