Embrasse-moi, je te quitte (Kiss Me Goodbye)

Name: Embrasse-moi, je te quitte
Director: Robert Mulligan
Genre: Comédie fantaisiste
Duration: 101 min.

É.-U. 1982. Comédie fantaisiste de Robert Mulligan avec Sally Field, James Caan, Jeff Bridges. Une veuve qui se prépare à épouser un égyptologue est hantée par le fantôme de son premier mari. Situations fabriquées. Une certaine vivacité dans le traitement. Réalisation convenable. Jeu des comédiens plus appliqué qu'enjoué.

Embrasse-moi, je te quitte (Kiss Me Goodbye)

Général

É.-U. 1982. Comédie fantaisiste de Robert Mulligan avec Sally Field, James Caan, Jeff Bridges.

Une veuve qui se prépare à épouser un égyptologue est hantée par le fantôme de son premier mari. Situations fabriquées. Une certaine vivacité dans le traitement. Réalisation convenable. Jeu des comédiens plus appliqué qu'enjoué.

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Genre :

Comédie fantaisiste

Année :

1982

Durée :

101 min.

Réalisation :

Robert Mulligan

Scénario :

D'après le roman de Jorge Amado

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Sally Field
James Caan
Jeff Bridges
Paul Dooley
Claire Trevor

Kay, veuve d'un danseur chorégraphe en renom, se prépare à épouser un égyptologue. Alors qu'elle s'affaire à redécorer la maison où elle a vécu avec son premier mari Jolly, voici que celui-ci lui apparaît et engage la conversation avec elle. Fantôme jovial, Jolly revient rendre visite à Kay aux moments les moins opportuns si bien que la jeune femme en vient à se confier à son fiancé Rupert. Incrédule d'abord, Rupert cherche à se débarrasser de ce rival spectral et fait appel à un collègue qui fut jadis dans les ordres. Cela ne va pas sans créer quelques incidents lors de la répétition de la cérémonie de mariage.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le scénariste a emprunté le sujet d'une comédie impertinente d'origine brésilienne, Dona Flor et ses deux maris, et l'a édulcoré selon les règles de la comédie romantique à l'américaine. Bien que doté d'une certaine vitalité et présenté dans un cadre assez sophistiqué, le résultat n'apparaît pourtant pas satisfaisant. Le dialogue manque trop souvent d'esprit et de mordant et les situations se révèlent par trop fabriquées. Mulligan, plus à l'aise dans le drame que la comédie, n'a pas su trouver le ton de fantaisie voulu. Le jeu des comédiens est plus appliqué qu'enjoué.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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