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Cinq Jours ce printemps-là (Five Days One Summer)

G.-B. 1982. Drame de Fred Zinnemann avec Sean Connery, Betsy Brantley, Lambert Wilson. Dans les Alpes suisses, un médecin d'âge mûr s'inquiète de l'attention que porte un jeune guide à sa nièce dont il est lui-même l'amant. Sujet brûlant développé avec pudeur et adresse. Contexte naturel bien mis en relief. Interprétation savamment contrôlée.

Général
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Cinq Jours ce printemps-là (Five Days One Summer)

Général Général

G.-B. 1982. Drame de Fred Zinnemann avec Sean Connery, Betsy Brantley, Lambert Wilson.

Dans les Alpes suisses, un médecin d'âge mûr s'inquiète de l'attention que porte un jeune guide à sa nièce dont il est lui-même l'amant. Sujet brûlant développé avec pudeur et adresse. Contexte naturel bien mis en relief. Interprétation savamment contrôlée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Michael Austin
D'après le roman de Kay Boyle
Photographie :
Musique :
Montage :
Au début de septembre 1932, un médecin d'âge mûr, Douglas Meredith, s'inscrit dans un hôtel des Alpes suisses en compagnie d'une jeune femme, Kate, qu'il présente comme son épouse. Comme le couple manifeste le désir de faire de l'alpinisme, on lui assigne un jeune guide, Johann. Un courant de sympathie ne tarde pas à se développer entre Kate et Johann. De fait Kate est la nièce de Meredith et vit avec lui une passion illicite. Avec Johann, Meredith tente l'ascension d'un pic difficile, mais un seul des deux hommes revient vivant de l'aventure.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Fred Zinnemann a mis son soin coutumier à la réalisation d'une histoire d'amour sur fond de montagnes. C'est avec pudeur et adresse qu'il développe les aspects délicats d'un sujet brûlant, par des révélations progressives grâce au jeu des retours en arrière. Par ailleurs, le côté sportif de l'aventure donne lieu à de fascinantes prises de vue où la beauté du contexte naturel est bien mise en relief. Il en résulte un film qui pourrait sembler à certains quelque peu vieillot dans le traitement, mais qui n'en témoigne pas moins, en mineur, de l'adresse consommée d'un cinéaste chevronné. L'interprétation est savamment contrôlée.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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