Ça va pas être triste

Fr. 1982. Comédie de Pierre Sisser avec Henri Courseaux, Daniel Russo, Darry Cowl. Un jeune avocat est entraîné par deux de ses clients à participer à un hold-up de banque en province. Traitement peu inventif. Réalisation manquant de fini. Interprétation assez alerte.

Ça va pas être triste (Ça va pas être triste)

Général

Fr. 1982. Comédie de Pierre Sisser avec Henri Courseaux, Daniel Russo, Darry Cowl.

Un jeune avocat est entraîné par deux de ses clients à participer à un hold-up de banque en province. Traitement peu inventif. Réalisation manquant de fini. Interprétation assez alerte.

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Genre :

Comédie

Année :

1982

Durée :

95 min.

Réalisation :

Pierre Sisser

Pays :

France

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Henri Courseaux
Daniel Russo
Darry Cowl

Entraîné par deux de ses clients, un jeune avocat accepte de participer à un hold-up de banque en province. Mais les trois hommes sont précédés dans leur action par deux malfaiteurs qui s'emparent de leur voiture. Poursuivi tout de même par la police et le maire du village, le trio se réfugie dans une auberge de jeunesse dont il tient les pensionnaires en otages. Le maire tente de profiter de l'aventure pour faire de la publicité à son patelin, mais les autorités policières lui délèguent une commissaire spécialisée dans le règlement des prises d'otages. Divers incidents bizarres marquent les négociations.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Voilà une autre de ces comédies faciles à la bonne franquette dont certains réalisateurs de seconde zone se sont fait une spécialité en France. À défaut de finesse dans le traitement et d'invention comique véritable, cela fournit tout de même de l'emploi à divers comédiens. Ceux qui ont été engagés ici s'acquittent de leur besogne avec un certain entrain et Darry Cowl compose même un personnage assez pittoresque de magistrat gagné par l'américanisme. Le scénario profite de thèmes à la mode sans toutefois les traiter avec tellement de mordant. Le réalisateur ne semble pas s'être soucié de fini, sacrifiant souvent la cohésion à des idées passagères qui manquent presque régulièrement leur impact comique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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