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Aphrodite

Fr. 1982. Drame de moeurs de Robert Fuest avec Horst Buchholz, Valérie Kaprisky, Daniel Beretta. Un riche fabricant d'armes, entouré d'amis et de sa maîtresse, entreprend un séjour fastueux sur une île grecque où se situe la villa d'un ambassadeur russe. Version trafiquée d'un roman sulfureux de Pierre Louÿs. Traitement plastique sans profondeur. Interprétation figée.

18 ans + (érotisme)
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Aphrodite (Aphrodite)

18 ans + (érotisme) 18 ans + (érotisme)

Fr. 1982. Drame de moeurs de Robert Fuest avec Horst Buchholz, Valérie Kaprisky, Daniel Beretta.

Un riche fabricant d'armes, entouré d'amis et de sa maîtresse, entreprend un séjour fastueux sur une île grecque où se situe la villa d'un ambassadeur russe. Version trafiquée d'un roman sulfureux de Pierre Louÿs. Traitement plastique sans profondeur. Interprétation figée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
John Melson
Jean Ardy
D'après le roman de Pierre Louÿs
Photographie :
Musique :
Montage :
En 1914, le riche fabricant d'armes Harry Laird se dirige sur son yacht vers une île grecque où se trouve la villa de l'ambassadeur russe Orloff. Il a à son bord sa maîtresse, Valérie, son protégé, le peintre Mark Blain, et Lady Stanford qui voyage avec sa jeune nièce Pauline. Une fois à terre, Laird propose de tenir une fête orgiaque en s'inspirant du roman de Pierre Louÿs, Aphrodite. C'est à Pauline qu'échoit le rôle de la charmante Crisis, incarnation de la déesse de la beauté. Pendant que se déroulent les festivités, Mark accomplit une mission secrète dans les bureaux d'Orloff.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il s'agit là d'une version trafiquée et écourtée d'un film qui prétendait illustrer un roman sulfureux de Pierre Louÿs. Des raccords en gros plan ont été ajoutés ici et là pour épicer l'aventure et la fin dramatique de l'héroïne a été tout simplement éliminée. Ce n'est pas qu'il faille se plaindre de la détérioration d'une oeuvre d'art, puisqu'il n'y a pas d'art ici à proprement parler. La réalisation se limite à un esthétisme artificiel et l'interprétation est à ce point figée qu'on se croirait parfois dans un musée de figures de cire.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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