Amityville II: Le Possédé (Amityville II: The Possession)

Name: Amityville II: Le Possédé
Director: Damiano Damiani
Genre: Drame fantastique
Duration: 104 min.

É.-U. 1982. Drame fantastique de Damiano Damiani avec James Olson, Jack Magner, Diane Franklin. Installé depuis peu avec sa famille en Nouvelle-Angleterre, un garçon semble habité par un esprit malin qui le pousse à des actes pervers. Suite d'un film à succès. Emploi de recettes éprouvées. Invraisemblances criantes. Réalisation technique valable. Interprétation adéquate.

Amityville II: Le Possédé (Amityville II: The Possession)

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É.-U. 1982. Drame fantastique de Damiano Damiani avec James Olson, Jack Magner, Diane Franklin.

Installé depuis peu avec sa famille en Nouvelle-Angleterre, un garçon semble habité par un esprit malin qui le pousse à des actes pervers. Suite d'un film à succès. Emploi de recettes éprouvées. Invraisemblances criantes. Réalisation technique valable. Interprétation adéquate.

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Genre :

Drame fantastique

Année :

1982

Durée :

104 min.

Réalisation :

Damiano Damiani

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Warner Bros.

Interprètes :

James Olson
Jack Magner
Diane Franklin

La famille Montelli emménage dans une maison d'une petite ville de Nouvelle-Angleterre. De curieux phénomènes ne tardent pas à se produire et le fils aîné, Sonny semble bientôt habité par un esprit malin qui le pousse à des actes pervers. Mme Montelli fait bénir la maison par le curé de la paroisse, le père Adamski, mais les bizarreries continuent et Sonny en vient à tuer ses parents ainsi que ses frère et soeurs. Adamskï cherche à défendre l'adolescent en invoquant un cas de possession.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le succès populaire de THE AMITYVILLE HORROR invitait à une suite et c'est le producteur Dino De Laurentiis qui s'en est chargé. Les événements évoqués ici sont en fait antérieurs dans la réalité aux expériences racontées dans le premier film. On en a d'ailleurs sans vergogne amplifié les données pour mieux les faire correspondre aux recettes des films d'horreur. Le résultat ne convainc guère, tant les invraisemblances y sont criantes, mais les aspects techniques sont traités avec une certaine dextérité. L'interprétation est adéquate tout au plus.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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