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Vague de chaleur (Heatwave)

Aust. 1981. Drame social de Phillip Noyce avec Richard Moir, Judy Davis, Chris Haywood. Divers attentats se produisent à la suite de l'annonce de la construction d'un luxueux projet domiciliaire dans un quartier populaire. Sujet inspiré par un fait divers. Vision critique d'une mentalité d'affairiste. Intrigue obscure. Réalisation vigoureuse. Interprétation appréciable.

13 ans +
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Vague de chaleur (Heatwave)

13 ans + 13 ans +

Aust. 1981. Drame social de Phillip Noyce avec Richard Moir, Judy Davis, Chris Haywood.

Divers attentats se produisent à la suite de l'annonce de la construction d'un luxueux projet domiciliaire dans un quartier populaire. Sujet inspiré par un fait divers. Vision critique d'une mentalité d'affairiste. Intrigue obscure. Réalisation vigoureuse. Interprétation appréciable.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Karim
Un entrepreneur, Houseman, doit faire face à divers groupes qui s'opposent à la construction d'un luxueux projet domiciliaire dans un quartier populaire. L'architecte Stephen West entreprend de rencontrer certains leaders protestataires, dont la journaliste Mary Ford et l'activiste Kate Dean, pour les convaincre de la valeur de l'entreprise. Peu de temps après, Mary Ford disparaît et Kate Dean est arrêtée pour activités terroristes. West découvre de curieux tripotages dans les coulisses et se trouve à quia lorsque Houseman abandonne l'affaire et vend ses avoirs à une autre société financière. Il appert que le président clandestin de cette compagnie est à l'origine des attentats divers qui ont marqué l'affaire.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Inspiré par un fait divers, le réalisateur de NEWSFRONT présente une vision résolument critique d'une mentalité d'affairiste entretenue par des nouveaux riches et une certaine pègre. Le point de vue n'est guère optimiste et certains développements semblent puisés au répertoire le plus sombre du film noir américain. Le film est mené avec vigueur mais l'intrigue n'est pas d'une limpidité exemplaire, ce qui n'est d'ailleurs peut-être pas un défaut en l'occurrence. L'interprétation est appréciable, même si elle manque un peu de nuances.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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