The Weavers: Wasn't That a Time

Name: Weavers: Wasn't That a Time, The
Director: Jim Brown
Genre: Documentaire
Released: 2010-10-15 15:35:19
Duration: 78 min.

É.-U. 1981. Documentaire de Jim Brown . En 1980 au Carnegie Hall, a lieu un concert-souvenir des Weavers, groupe folk fondé à la fin des années 40, à l'instigation de Lee Hayes, membre de la formation devenu infirme. Document à saveur nostalgique, débordant de joie de vivre et de complicité. Spectacle bien filmé, aux performances pleines de vitalité et de conviction. Caméra attentive.

The Weavers: Wasn't That a Time (The Weavers: Wasn't That a Time)

Général

É.-U. 1981. Documentaire de Jim Brown .

En 1980 au Carnegie Hall, a lieu un concert-souvenir des Weavers, groupe folk fondé à la fin des années 40, à l'instigation de Lee Hayes, membre de la formation devenu infirme. Document à saveur nostalgique, débordant de joie de vivre et de complicité. Spectacle bien filmé, aux performances pleines de vitalité et de conviction. Caméra attentive.

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Genre :

Documentaire

Année :

1981

Durée :

78 min.

Réalisation :

Jim Brown

Pays :

États-Unis

Distributeur :

United Artists

À la fin des années 40, trois hommes et une femme formèrent un groupe musical appelé "The Weavers", spécialisé dans les chants folkloriques ou les refrains ouvriers. Ils connurent un succès national à l'aube des années 50 puis de sérieuses difficultés professionnelles à l'occasion des enquêtes du sénateur McCarthy. En 1980, un des membres du groupe, Lee Hays, devenu infirme, eut l'idée de réunir ses anciens camarades pour une petite fête. De cette réunion naquit le projet d'un concert-souvenir au Carnegie Hall, manifestation qui obtint un ferme succès. Lee Hays devait mourir peu après.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'il n'est pas exempt, et à bon droit, de saveur nostalgique, ce film documentaire déborde surtout de joie de vivre et de camaraderie. C'est aussi un concert de qualité, alors que les chanteurs se montrent encore capables d'interpréter avec autant de vitalité et de conviction les chansons qui les avaient rendus célèbres trente ans auparavant. Il y a de l'humour aussi dans la narration ainsi que dans les dialogues spontanés qui s'échangent. Le cinéaste est là avec sa caméra comme un ami attentif. Il s'est appliqué à faire connaître et apprécier des artistes authentiques dont les préoccupations esthétiques s'enrichissent de considérations sociales.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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