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Le Village de la mort (The Killer Instinct)

Can. 1981. Drame de moeurs de William Fruet avec Henry Silva, Nicholas Campbell, Barbara Gordon. Après avoir été témoins d'un meurtre, quatre étudiants faisant une excursion en montagne doivent affronter l'assassin. Scénario dénué de subtilité prétexte à scènes violentes. Nombreux clichés. Aspects techniques valables. Interprétation vigoureuse.

En attente de classement
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Le Village de la mort (The Killer Instinct)

En attente de classement En attente de classement

Can. 1981. Drame de moeurs de William Fruet avec Henry Silva, Nicholas Campbell, Barbara Gordon.

Après avoir été témoins d'un meurtre, quatre étudiants faisant une excursion en montagne doivent affronter l'assassin. Scénario dénué de subtilité prétexte à scènes violentes. Nombreux clichés. Aspects techniques valables. Interprétation vigoureuse.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Pan-Canadian
Alors qu'ils sont en excursion dans les montagnes de Georgie, quatre étudiants sont témoins du meurtre d'un inconnu par un montagnard. Ils tentent d'alerter les habitants d'un village voisin, mais il appert que le meurtrier, un certain Chatwill, fait la loi en ces lieux. Les étudiants préviennent ensuite le shérif de la région qui se trouve être à leur insu le frère de Chatwill. En retournant chercher leur équipement de camping, les jeunes gens sont faits prisonniers par Chatwill qui les enferme dans un sous-sol. L'un des villageois libère les captifs, ce qui lui vaut d'être abattu par Chatwill. Révoltés par ce nouveau meurtre, d'autres montagnards arment l'un des étudiants qui affronte Chatwill.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette avancée en territoire américain est une autre entreprise décevante d'un cinéaste qui promettait, avec son premier film, d'être un des cinéastes à suivre du cinéma canadien anglophone. Depuis il s'est malheureusement cantonné dans des suspenses commerciaux dénués de subtilité. Si divers éléments renvoient ici au DELIVERANCE de John Boorman, on est loin de ce modèle dans une mise en scène en coup de poing. Des clichés défilent dans le récit et les développements sont le plus souvent téléphonés. Les aspects techniques sont assez réussis cependant et les interprètes s'acquittent de leur rôle avec vigueur.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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