Surfacing

Name: Surfacing
Director: Claude Jutra
Genre: Drame psychologique
Duration: 88 min.

Can. 1981. Drame psychologique de Claude Jutra avec Kathleen Beller, Joseph Bottoms, R.H. Thomson. Une jeune femme entraîne quelques amis dans la forêt du Grand Nord à la recherche de son père disparu. Adaptation décevante d'un roman de Margaret Atwood. Aventures mâtinées de psychologie et symbolisme. Décor naturel bien utilisé. Interprétation inégale.

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13 ans +

Can. 1981. Drame psychologique de Claude Jutra avec Kathleen Beller, Joseph Bottoms, R.H. Thomson.

Une jeune femme entraîne quelques amis dans la forêt du Grand Nord à la recherche de son père disparu. Adaptation décevante d'un roman de Margaret Atwood. Aventures mâtinées de psychologie et symbolisme. Décor naturel bien utilisé. Interprétation inégale.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1981

Durée :

88 min.

Réalisation :

Claude Jutra

Pays :

Canada

Distributeur :

Cineplex-Odeon

Interprètes :

Kathleen Beller
Joseph Bottoms
R.H. Thomson

Apprenant que son père est disparu en forêt au cours d'une expédition scientifique, Kate part à sa recherche. Elle entraîne dans l'aventure son compagnon Joe ainsi que le frère et la belle-soeur de celui-ci, David et Anna. Installés dans la cabane abandonnée par le père de Kate, les jeunes gens explorent les environs à la recherche d'indices, mais David semble plus intéressé à satisfaire ses besoins sexuels. Après quelques mésaventures dangereuses ou sordides, Kate en vient à apprendre la vérité sur son père.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tourné en anglais par Claude Jutra il y a plus de cinq ans, ce film n'avait pas circulé au Québec; il fait maintenant surface à la télévision à péage ou en vidéo-cassettes. Le récit est tiré d'un livre de la célèbre romancière canadienne Margaret Atwood qui avait écrit là une sorte d'allégorie féministe de style poétique sur l'accession d'une jeune femme à la maturité et à l'indépendance. Réduite à l'anecdote, l'intrigue perd de son pouvoir d'évocation symbolique dans une illustration réaliste, il reste que le décor naturel est assez bien utilisé pour invoquer certaines craintes instinctives. Les comédiens campent consciencieusement des personnages schématiques.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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