Silence of the North

Name: Silence of the North
Director: Allan W. King
Genre: Drame de moeurs
Duration: 93 min.

Can. 1981. Drame de moeurs de Allan W. King avec Ellen Burstyn, Tom Skerritt, Gordon Pinsent. La vie dans le Nord-Ouest d'une femme qui a épousé un homme habité par le goût de l'errance. Récit anecdotique inspiré d'une expérience vécue. Beauté visuelle impressionnante. Bonne évocation d'époque. Interprétation chaleureuse.

Silence of the North (Silence of the North)

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Can. 1981. Drame de moeurs de Allan W. King avec Ellen Burstyn, Tom Skerritt, Gordon Pinsent.

La vie dans le Nord-Ouest d'une femme qui a épousé un homme habité par le goût de l'errance. Récit anecdotique inspiré d'une expérience vécue. Beauté visuelle impressionnante. Bonne évocation d'époque. Interprétation chaleureuse.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1981

Durée :

93 min.

Réalisation :

Allan W. King

Pays :

Canada

Distributeur :

Universal

Interprètes :

Ellen Burstyn
Tom Skerritt
Gordon Pinsent

Récompenses

En 1919, Olive Goodman décide d'attacher son sort à celui de Walter Reamer, un homme habité par le goût de l'errance, plutôt que d'épouser le cultivateur stable qu'on lui destine. Walter entraîne son épouse jusque dans les Territoires du Nord Ouest où il veut s'enrichir par la chasse. Après un hiver rigoureux, le jeune couple retourne dans le Sud. Walter s'établit un temps sur une ferme et Olive y élève ses deux filles. Mais l'homme est repris par l'appel de l'aventure et repart seul vers le Nord où il meurt. Olive refait sa vie avec John Fredrickson qui a eu l'occasion de lui venir en aide en diverses occasions.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Agée de soixante-dix ans, Olive Fredrickson a décidé de raconter ses expériences de pionnière dans un livre. Le bouquin attira l'attention de l'actrice américaine Ellen Burstyn qui entreprit d'en promouvoir l'adaptation au cinéma. Allan King, qui avait déjà manifesté son appréciation des gens simples dans WHO HAS SEEN THE WIND, en a tiré un film d'une beauté visuelle assez impressionnante avec l'aide du chef-opérateur Richard Leiterman. Le récit est anecdotique mais l'intérêt reste constant grâce à la véracité de l'évocation d'époque et à l'interprétation chaleureuse des divers acteurs.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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