Trois patients d'un même psychiatre se sont liés d'amitié. Dibley a des absences de mémoire survenant à des moments inopportuns; Walter est un schizophrène qui emprunte sans crier gare la personnalité filmique de James Cagney ou de Bette Davis; Swaboda s'imagine que sa mère le suit partout alors qu'elle est décédée. N'ayant pu résoudre un litige avec le système de voirie de la ville, Dibley entraîne ses deux copains dans une folle entreprise pour se faire rendre justice. Ils décident de menacer le maire de la ville lui-même avec un canon, ce qui ne va pas sans occasionner de folles péripéties.
L’AVIS DE MEDIAFILM
Peter Bonerz est un comédien de second plan qui a surtout joué à la télévision. Pour son premier film, il tente l'aventure de la comédie farfelue sur le bon vieux canevas du coup impossible tenté et réalisé par des minables. Il y a quelques moments amusants dans la suite d'incongruités qui composent le scénario, mais l'ensemble est loin d'avoir l'impact hilarant désiré. La réalisation apparaît plus laborieuse qu'inventive et le rythme manque de vivacité, ce qui n'est pas bon signe pour une comédie. Les comédiens jouent avec une certaine bonhomie sympathique.
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Général 
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Bon
Moyen
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