Meurtres à domicile

Name: Meurtres à domicile
Director: Marc Lobet
Genre: Drame policier
Duration: 90 min.

Bel. 1981. Drame policier de Marc Lobet avec Anny Duperey, Bernard Giraudeau, Daniel Emilfork. Une femme policière est chargée d'enquêter sur un meurtre commis dans l'immeuble où elle vit. Situations insolites. Touches d'humour noir. Mise en scène plus appliquée que réussie. Interprétation étonnante.

Meurtres à domicile (Meurtres à domicile)

Général

Bel. 1981. Drame policier de Marc Lobet avec Anny Duperey, Bernard Giraudeau, Daniel Emilfork.

Une femme policière est chargée d'enquêter sur un meurtre commis dans l'immeuble où elle vit. Situations insolites. Touches d'humour noir. Mise en scène plus appliquée que réussie. Interprétation étonnante.

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Genre :

Drame policier

Année :

1981

Durée :

90 min.

Réalisation :

Marc Lobet

Pays :

Belgique

Distributeur :

Vivafilm

Interprètes :

Anny Duperey
Bernard Giraudeau
Daniel Emilfork

Aurélia Maudru, accorte policière, est chargée d'enquêter sur un meurtre commis dans l'immeuble où elle vit. La victime est un vieux journaliste et les suspects sont nombreux parmi les habitants de la maison, tous plus ou moins excentriques, depuis le propriétaire au visage chafouin jusqu'à l'acteur prétentieux Max Queyrat en passant par une cartomancienne vindicative et un photographe d'apparence disgracieuse. Pendant qu'Aurélia poursuit ses recherches, un autre meurtre a lieu suivi d'un suicide. Tout en se laissant faire la cour par Max Queyrat, la jeune femme arrive à démasquer le meurtrier.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tiré d'un roman écrit dans les années 40, ce film s'apparente par son ton et ses personnages à un vieux film de Clouzot, L'ASSASSIN HABITE AU 21, également inspiré d'un livre belge. Le réalisateur affectionne visiblement l'insolite tant dans les décors que' les situations, au point de forcer la note en diverses occasions. Des touches d'humour noir se manifestent ici et là à travers un récit conduit de façon capricieuse et dont la conclusion n'apparaît guère concluante. La mise en scène est plus appliquée que réussie, mais l'interprétation réserve d'heureuses surprises.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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