Remarquable

Melanie

Name: Melanie
Director: Rex Bromfield
Genre: Mélodrame
Duration: 107 min.

Can. 1981. Mélodrame de Rex Bromfield avec Glynnis O'Connor, Burton Cummings, Paul Sorvino. Les démarches d'une jeune femme illettrée pour reprendre son fils enlevé par son mari. Scénario chargé. Situations peu plausibles. Mise en scène honnête. Jeu touchant de G. O'Connor.

Melanie (Melanie)

Général

Can. 1981. Mélodrame de Rex Bromfield avec Glynnis O'Connor, Burton Cummings, Paul Sorvino.

Les démarches d'une jeune femme illettrée pour reprendre son fils enlevé par son mari. Scénario chargé. Situations peu plausibles. Mise en scène honnête. Jeu touchant de G. O'Connor.

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Genre :

Mélodrame

Année :

1981

Durée :

107 min.

Réalisation :

Rex Bromfield

Scénario :

Robert Guza Jr.
Richard Paluck

Photographie :

Richard Ciupka

Musique :

Paul Zaza

Montage :

Brian Ravok

Pays :

Canada

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Glynnis O'Connor
Burton Cummings
Paul Sorvino
Don Johnson
Trudy Young
Donann Cavin
Jamie Dick
Jodie Drake
Lisa Dalbello
Yvonne Murray
Martha Gibson

Récompenses

Melanie, jeune campagnarde de l'Arkansas, attend le retour de son mari, Carl, parti faire son service militaire. Quand Carl revient, c'est pour enlever à Melanie leur jeune fils Tyler et partir avec lui en Californie. Melanie se rend à Los Angeles rejoindre une vieille amie, Ronda, qui vit avec un chanteur, Rick. Le fait qu'elle soit illettrée n'aide guère la jeune femme dans son voyage ni dans ses démarches pour ravoir son fils. Un avocat s'intéresse à elle, lui apprend à lire et la guide dans les manoeuvres légales à entreprendre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Voilà un autre de ces films canadiens anglophones n'ayant d'autre souci que de paraître américain. Mêlant des acteurs d'outre-frontière à des comédiens autochtones, traitant d'un sujet situé en Californie, c'est un ersatz assez convaincant comme imitation mais peu engageant sur le plan dramatique. Les personnages comme les situations manquent de plausibilité et seule Glynnis O'Connor parvient à surmonter ce handicap d'interprétation. Le scénario joue sur la corde sensible et la réalisation n'est guère plus qu'honnête.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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