L'érotisme de luxe, tel qu'illustré dans le film MADAME CLAUDE, s'étant montré d'un apport profitable, les producteurs ont décidé d'une suite qui s'avère des plus artificielles. Le scénario déjà mince au départ, est truffé de scènes érotiques d'une fausse sophistication illustrant les activités des filles du réseau organisé par l'entremetteuse. Rien de cela n'apparaît convaincant tant dramatiquement que socialement. L'interprétation est artificielle.
Texte : Robert-Claude Bérubé