Remarquable

Le Tueur du vendredi (Friday the 13th - Part II)

Name: Tueur du vendredi, Le
Director: Steve Miner
Genre: Drame d'horreur
Duration: 87 min.

É.-U. 1981. Drame d'horreur de Steve Miner avec Amy Steel, John Furey, Kirsten Baker. Un mystérieux assassin s'en prend à des moniteurs dans une colonie de vacances. Récit invraisemblable prétexte à effets de violence. Mise en scène bâclée. Interprétation grotesque.

Le Tueur du vendredi (Friday the 13th - Part II)

13 ans + (horreur)

É.-U. 1981. Drame d'horreur de Steve Miner avec Amy Steel, John Furey, Kirsten Baker.

Un mystérieux assassin s'en prend à des moniteurs dans une colonie de vacances. Récit invraisemblable prétexte à effets de violence. Mise en scène bâclée. Interprétation grotesque.

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Genre :

Drame d'horreur

Année :

1981

Durée :

87 min.

Réalisation :

Steve Miner

Scénario :

Ron Kurz

Photographie :

Peter Stein

Musique :

Harry Manfredini

Montage :

Susan E. Cunningham

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Amy Steel
John Furey
Kirsten Baker
Adrienne King
Stuart Charno
Warrington Gillette

Un camp de formation pour moniteurs s'est installé près d'une colonie de vacances laissée à l'abandon à la suite d'événements tragiques. Une femme déséquilibrée y avait assassiné divers jeunes gens pour venger son fils Jason, mort noyé, et avait été décapitée par une adolescente qui se défendait contre ses attaques. Une même suite d'homicides décime les pensionnaires du camp-école. Il semble que Jason a survécu à la noyade et qu'il s'en prend à son tour aux jeunes pour venger sa mère. Le directeur et son assistante finissent par venir à bout du forcené.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Devant le succès populaire de FRIDAY THE 13TH, surtout auprès des jeunes friands d'émotions fortes, les producteurs ont décidé de recommencer. L'un d'eux s'est même transformé en réalisateur pour l'occasion. Il s'est d'ailleurs contenté de répéter les mêmes effets au long d'une intrigue fort semblable à celle du premier épisode. Des trucs de maquillage et des effets de montage créent des sensations faciles et grossières sans qu'on se préoccupe le moindrement de logique ou de vraisemblance. L'interprétation se réduit à des simagrées grotesques.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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