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Le Loup-garou de Londres (An American Werewolf in London)

G.-B. 1981. Comédie d'horreur de John Landis avec David Naughton, Jenny Agutter, Griffin Dunne. En Angleterre, un étudiant américain attaqué par une bête est condamné à se transformer en loup-garou. Habile mélange de légèreté et de terreur. Trucages impressionnants. Mise en scène vivante et parfois spectaculaire. Interprétation complice.

13 ans + (horreur)
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Le Loup-garou de Londres (An American Werewolf in London)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

G.-B. 1981. Comédie d'horreur de John Landis avec David Naughton, Jenny Agutter, Griffin Dunne.

En Angleterre, un étudiant américain attaqué par une bête est condamné à se transformer en loup-garou. Habile mélange de légèreté et de terreur. Trucages impressionnants. Mise en scène vivante et parfois spectaculaire. Interprétation complice.

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Universal
Récompenses
Alors qu'ils voyagent en Angleterre en auto-stop, deux étudiants américains, David et Jack, sont attaqués par une bête qui est ensuite abattue par des villageois. Trois semaines plus tard, David se réveille dans un hôpital à Londres et apprend que Jack a succombé à ses blessures. Celui-ci lui apparaît pourtant et lui annonce qu'ils ont été les victimes d'un loup-garou. David est donc lui-même condamné à se transformer en bête à la prochaine pleine lune. Au moment prévu, David devient loup-garou et se met à tuer des gens jusqu'à ce qu'il soit descendu par la police.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Depuis plusieurs années, John Landis, jeune réalisateur à succès de ANIMAL HOUSE et THE BLUES BROTHERS, rêvait de tourner ce remake des bonnes vieilles histoires de loups-garous. Il l'a fait en tentant de traiter avec humour certaines situations tout en faisant une large place à la violence qui n'était souvent que suggérée dans les versions anciennes. Une évidente habileté technique se manifeste dans diverses scènes, mais l'ensemble manque de cohésion et les trucages de transformation, pour impressionnants qu'ils soient, ne font guère que répéter les réussites d'un film comme THE HOWLING. L'interprétation est adéquate.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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