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Le Dragon du lac de feu (Dragonslayer)

G.-B. 1981. Drame fantastique de Matthew Robbins avec Peter MacNicol, Caitlin Clarke, Ralph Richardson. À une époque reculée, un apprenti sorcier s'emploie à exterminer un dragon qui terrorise les habitants d'un royaume. Création efficace d'un passé lointain empreint de merveilleux. Climat de terreur convaincant. Mise en images soignée. Interprétation valable.

Général
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Le Dragon du lac de feu (Dragonslayer)

Général Général

G.-B. 1981. Drame fantastique de Matthew Robbins avec Peter MacNicol, Caitlin Clarke, Ralph Richardson.

À une époque reculée, un apprenti sorcier s'emploie à exterminer un dragon qui terrorise les habitants d'un royaume. Création efficace d'un passé lointain empreint de merveilleux. Climat de terreur convaincant. Mise en images soignée. Interprétation valable.

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Paramount
Une délégation de paysans vient solliciter l'aide du sorcier Ulrich pour débarrasser leur pays d'un dragon qui exige son tribut annuel de vierges à dévorer. Un guerrier abat Ulrich devant ses suppliants, mais l'apprenti du sorcier, Galen, s'offre à le remplacer. En route, Galen s'efforce de contrôler les quelques tours qu'il a déjà appris et s'éprend de Valerian, jeune fille déguisée en garçon pour échapper au sacrifice. La première rencontre de Galen avec le dragon lui procure un triomphe de courte durée car la bête ressurgit de la fosse où il croyait l'avoir enfouie. Il lui faudra l'aide d'Ulrich, opportunément ressuscité, pour venir à bout du dragon de façon définitive.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Plutôt que dans l'avenir, c'est dans un passé lointain teinté de merveilleux que le jeune réalisateur Matthew Robbins, qui n'en est qu'à son deuxième film, est allé chercher son inspiration. Pour naïve qu'elle apparaisse par moments, l'affabulation a été mise en images avec un soin évident. Le dragon est révélé petit à petit avant d'apparaître dans toute sa puissance terrifiante. On a su créer un climat convaincant d'ancienneté et de terreur comme contexte à l'intrigue. De jeunes acteurs peu connus tiennent avec ardeur le devant de la scène, mais le vétéran Richardson domine aisément les passages où il paraît.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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