Commencé sous la forme d'un pastiche assaisonné d'humour noir où l'on évoque la légende de certaines vedettes du fantastique, le film tombe vite dans les ornières de l'horreur à rabais. On y trouve le lot habituel de jeunes promis a l'hécatombe sous la main d'un monstre maléfique ainsi que des effets archifaciles de brouillards et d'orages. Ferdinand Mayne, qui fut jadis un vampire acceptable sous la férule de Roman Polanski, arrive à tirer tant bien que mal son épingle du jeu.
Texte : Robert-Claude Bérubé