Remarquable

J'aurai ta peau (I, the Jury)

Name: J'aurai ta peau
Director: Richard T. Heffron
Genre: Drame policier
Duration: 111 min.

É.-U. 1981. Drame policier de Richard T. Heffron avec Armand Assante, Barbara Carrera, Laurene Landon. Un détective privé entreprend de venger le meurtre d'un collègue tué en d'étranges circonstances. Nouvelle adaptation d'un roman déjà porté à l'écran au début des années 1950. Récit confus. Mise en scène accrocheuse. Interprétation peu nuancée.

J'aurai ta peau (I, the Jury)

13 ans + (violence, érotisme)

É.-U. 1981. Drame policier de Richard T. Heffron avec Armand Assante, Barbara Carrera, Laurene Landon.

Un détective privé entreprend de venger le meurtre d'un collègue tué en d'étranges circonstances. Nouvelle adaptation d'un roman déjà porté à l'écran au début des années 1950. Récit confus. Mise en scène accrocheuse. Interprétation peu nuancée.

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Genre :

Année :

Durée :

Réalisation :

Scénario :

Larry Cohen
D'après le roman de Mickey Spillane

Photographie :

Andrew Laszlo

Musique :

Bill Conti

Montage :

Garth Craven

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Armand Assante
Barbara Carrera
Laurene Landon
Alan King
Geoffrey Lewis
Paul Sorvino
Judson Scott
Barry Snider
Julia Barr
Jessica James
Frederic Downs
Mary Margaret Amato

Le détective privé Mike Hammer entreprend de venger le meurtre de son collègue et ami Jack Williams. Son enquête le mène à une clinique de thérapie sexuelle que Williams avait fréquentée avec sa femme. Cette clinique est dirigée par une psychiatre, Charlotte Bennett. En suivant d'autres pistes, Hammer découvre que Williams avait décelé une entreprise de conditionnement mental exercée sous le contrôle de la C.I.A. Sans le savoir, le détective est orienté dans ses recherches. On veut le pousser à éliminer des personnes compromettantes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le roman brutal de Mickey Spillane a déjà été porté à l'écran au début des années 1950. Une nouvelle adaptation ne s'imposait pas et ce ne sont pas les variations surajoutées sur le contrôle des cerveaux qui arrivent à lui conférer un intérêt quelconque. Le héros, si on peut employer le mot, est plus apte à la bagarre qu'à la déduction et il n'apparaît guère que comme une machine à tuer contrôlée par plus habile que lui. Le récit est confus au possible et la mise en scène se rabat sur des éléments à sensation pour raviver l'Intérêt. Les comédiens s'acquittent comme ils peuvent de rôles fort peu nuancés.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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