I'm Dancing as Fast as I Can

Name: I'm Dancing as Fast as I Can
Director: John Hofsiss
Genre: Drame psychologique
Duration: 106 min.

É.-U. 1981. Drame psychologique de John Hofsiss avec Jill Clayburgh, Nicol Williamson, Geraldine Page. Les difficultés d'une productrice d'émissions de télévision qui fait un usage abusif de tranquillisants. Transposition d'une expérience vécue. Intéressants développements thématiques. Montage capricieux. Interprétation forte et nuancée.

I'm Dancing as Fast as I Can (I'm Dancing as Fast as I Can)

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É.-U. 1981. Drame psychologique de John Hofsiss avec Jill Clayburgh, Nicol Williamson, Geraldine Page.

Les difficultés d'une productrice d'émissions de télévision qui fait un usage abusif de tranquillisants. Transposition d'une expérience vécue. Intéressants développements thématiques. Montage capricieux. Interprétation forte et nuancée.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1981

Durée :

106 min.

Réalisation :

John Hofsiss

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Jill Clayburgh
Nicol Williamson
Geraldine Page

Barbara Gordon est productrice d'émissions documentaires pour la télévision. Sa tâche est harassante et elle n'en vient à bout qu'en faisant usage de tranquillisants. Après une déception professionnelle, elle décide de renoncer à ses calmants. Mais sa dépendance biologique est devenue telle que cela semble au-dessus de ses forces. Sous prétexte de l'aider, son amant exerce sur elle une violence tyrannique qui décèle une hostilité latente, et Barbara aboutit en clinique. Après un long traitement, elle est en mesure de reprendre son travail.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette transposition dramatique d'une expérience vécue fait penser à ces films sur l'alcoolisme réalisés il y a vingt ou trente ans. Le scénariste a cependant eu l'heureuse idée de traiter le problème de son héroïne en parallèle avec celui d'une poétesse menacée par la mort. Il y a là des contre-points valables et de riches développements thématiques. Le film est assez curieusement construit et la dernière partie apparaît un peu vite expédiée comme si, au montage, on avait laissé tomber des scènes. Le résultat global n'en est pas moins intéressant et profite d'une interprétation forte et nuancée.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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