Heartbeeps

Name: Heartbeeps
Director: Allan Arkush
Genre: Comédie fantaisiste
Duration: 79 min.

É.-U. 1981. Comédie fantaisiste de Allan Arkush avec Andy Kaufman, Bernadette Peters, Kenneth McMillan. Un couple d'androïdes qui s'est enfui d'une usine afin de fonder un foyer tente d'échapper aux ingénieurs et à un robot policier qui les recherchent. Histoire originale aux effets vite répétitifs. Traitement laborieux. Candeur sympathique dans la conception des personnages.

Heartbeeps (Heartbeeps)

Général

É.-U. 1981. Comédie fantaisiste de Allan Arkush avec Andy Kaufman, Bernadette Peters, Kenneth McMillan.

Un couple d'androïdes qui s'est enfui d'une usine afin de fonder un foyer tente d'échapper aux ingénieurs et à un robot policier qui les recherchent. Histoire originale aux effets vite répétitifs. Traitement laborieux. Candeur sympathique dans la conception des personnages.

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Genre :

Comédie fantaisiste

Année :

1981

Durée :

79 min.

Réalisation :

Allan Arkush

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Universal

Interprètes :

Andy Kaufman
Bernadette Peters
Kenneth McMillan

Ramené à l'usine pour une mise au point, un robot androïde, Val, est remisé aux côtés d'une machine d'apparence féminine, Aqua. Un courant de sympathie unit bientôt les deux robots qui décident de s'enfuir de compagnie pour fonder un foyer après s'être bricolé un rejeton avec divers accessoires mécaniques mis au rancart. Accompagnés par un appareil conçu pour raconter des plaisanteries, ils s'enfuient dans la campagne, poursuivis par un redoutable robot policier. Leur principal problème est de renouveler leurs piles d'énergie tout en échappant aux ingénieurs qui les recherchent.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette histoire d'amour entre robots ne manque pas d'originalité, mais le traitement d'ensemble s'avère trop laborieux pour retenir longtemps l'attention. Une fois la situation de départ mise au point, le scénariste semble avoir manqué d'imagination pour la développer, si bien que les effets apparaissent vite répétitifs. Il y a tout de même une candeur sympathique dans la conception des personnages et quelques scènes ne manquent pas d'un certain piquant fantaisiste. Gênés par un maquillage élaboré, les interprètes principaux sont réduits à un jeu par trop mécanique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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