Remarquable

Conan le barbare (Conan the Barbarian)

Name: Conan le barbare
Director: John Milius
Genre: Aventures
Duration: 129 min.

É.-U. 1981. Aventures de John Milius avec Arnold Schwarzenegger, James Earl Jones, Sandahl Bergman. Le fils d'un chef de tribu massacré par un ennemi devient gladiateur et entreprend de se venger. Traitement lourd et prétentieux. Mise en scène inégale. Quelques touches originales. Interprétation musclée.

Conan le barbare (Conan the Barbarian)

13 ans + (violence)

É.-U. 1981. Aventures de John Milius avec Arnold Schwarzenegger, James Earl Jones, Sandahl Bergman.

Le fils d'un chef de tribu massacré par un ennemi devient gladiateur et entreprend de se venger. Traitement lourd et prétentieux. Mise en scène inégale. Quelques touches originales. Interprétation musclée.

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Genre :

Aventures

Année :

1981

Durée :

129 min.

Réalisation :

John Milius

Scénario :

John Milius
Oliver Stone
D'après l'oeuvre de Robert E. Howard

Photographie :

Duke Callaghan

Musique :

Basil Poledouris

Montage :

C. Timothy O'Meara

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Universal

Interprètes :

Arnold Schwarzenegger
James Earl Jones
Sandahl Bergman
Ben Davidson
Cassandra Gava
Gerry Lopez
Mako
Valérie Quennessen
William Smith
Max von Sydow
Luis Barboo
Franco Columbu

Dans des temps reculés, Conan, jeune fils d'un chef de tribu, est fait prisonnier par les hommes de Thulsa Doom qui tuent ses parents. Ceux-ci l'enchaînent à une meule où il se fait les muscles. Parvenu à l'âge adulte, Conan devient gladiateur puis acquiert la liberté. Il part en quête de la fortune avec deux compagnons et son chemin croise à nouveau celui de Thulsa Doom, devenu le grand maître d'une secte ésotérique. Il entreprend alors de se venger.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Né sous la plume du romancier Robert E. Howard dans les années 1930, Conan le barbare est devenu populaire au cours des dernières années en tant que héros de bandes dessinées. Il envahit maintenant l'écran dans un film prétentieux et lourd. John Milius semble avoir voulu créer un monde mythique, mais il n'a pas su donner à son oeuvre un style unifié. On passe d'un primitivisme surchargé à une solennité artificielle et des éléments fantastiques surgissent sans crier gare. Certains passages ont pourtant un certain cachet d'originalité. S'il a la stature voulue pour le rôle, Arnold Schwarzenegger manque cependant carrément d'expression.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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