C'est ma vie après tout (Whose Life Is It Anyway?)

Name: C'est ma vie après tout
Director: John Badham
Genre: Drame psychologique
Duration: 118 min.

É.-U. 1981. Drame psychologique de John Badham avec Richard Dreyfuss, John Cassavetes, Christine Lahti. Paralysé à la suite d'un accident, un sculpteur exige qu'on le laisse mourir. Scénario tiré d'une pièce à succès. Réalisation fort efficace. Dialogues bien rendus. Jeu prenant de R. Dreyfuss.

C'est ma vie après tout (Whose Life Is It Anyway?)

Général

É.-U. 1981. Drame psychologique de John Badham avec Richard Dreyfuss, John Cassavetes, Christine Lahti.

Paralysé à la suite d'un accident, un sculpteur exige qu'on le laisse mourir. Scénario tiré d'une pièce à succès. Réalisation fort efficace. Dialogues bien rendus. Jeu prenant de R. Dreyfuss.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1981

Durée :

118 min.

Réalisation :

John Badham

Pays :

États-Unis

Distributeur :

United Artists

Interprètes :

Richard Dreyfuss
John Cassavetes
Christine Lahti

À la suite d'un accident d'automobile, un jeune sculpteur de talent, Ken Harrison, se retrouve à l'hôpital, paralysé des épaules jusqu'aux pieds. Le chirurgien qui l'a opéré lui annonce que son état est irréversible et que, pour survivre, il lui faudra rester à l'hôpital et subir des traitements continuels. Ken exige que l'on cesse ces traitements et qu'on le laisse mourir, rabrouant avec ironie ceux qui cherchent à le réconforter ou le dissuader. Par l'entremise d'un avocat, il obtient que se tienne une commission judiciaire qui aura à se prononcer sur son cas.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tiré d'une pièce à succès, ce film présente à travers un cas exemplaire une discussion prenante sur le problème du droit à la mort. Le réalisateur a su faire oublier l'origine théâtrale du sujet en le plantant dans le contexte grouillant d'activité d'un grand hôpital. Le dialogue a encore une grande importance, mais l'état pathétique du protagoniste apparaît encore plus vivement par l'insistance sur certains détails cliniques et l'insertion de retours en arrière significatifs. Richard Dreyfuss offre un jeu approprié, à la fois poignant et agressif.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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