À nous la victoire (Victory)

Name: À nous la victoire
Director: John Huston
Genre: Drame de guerre
Duration: 117 min.

É.-U. 1981. Drame de guerre de John Huston avec Sylvester Stallone, Michael Caine, Max von Sydow. Des prisonniers de guerre ont l'occasion de former une équipe de soccer et d'affronter des sportifs allemands pour un match. Intrigue peu vraisemblable mais captivante. Mise en scène adroite. Match final particulièrement réussi. Jeu vivant des acteurs.

À nous la victoire (Victory)

Général

É.-U. 1981. Drame de guerre de John Huston avec Sylvester Stallone, Michael Caine, Max von Sydow.

Des prisonniers de guerre ont l'occasion de former une équipe de soccer et d'affronter des sportifs allemands pour un match. Intrigue peu vraisemblable mais captivante. Mise en scène adroite. Match final particulièrement réussi. Jeu vivant des acteurs.

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Genre :

Drame de guerre

Année :

1981

Durée :

117 min.

Réalisation :

John Huston

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Sylvester Stallone
Michael Caine
Max von Sydow

Un officier allemand des services de propagande retrouve dans un camp de prisonniers une vedette anglaise du soccer, John Colby. Il propose à celui-ci de former, avec des prisonniers, un club qui sera opposé à des sportifs allemands. Colby accepte la proposition, espérant obtenir ainsi un régime de faveur pour certains de ses camarades. Un Américain, Hatch, arrive à se faire engager par Colby comme entraîneur, et profite de cette position pour s'évader. Il prend contact avec la Résistance française et organise un plan massif d'évasion à l'occasion de la tenue du match à Paris.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour invraisemblable qu'elle apparaisse dans plusieurs de ses données, l'intrigue retient pourtant l'attention grâce à une mise en scène adroite et à une excellente direction d'acteurs. Commencée dans le contexte familier des camps de prisonniers évoqué déjà par plusieurs films, elle culmine en un match particulièrement enlevant aux images vivantes et au montage serré, où chaque point prend une valeur symbolique. Dégagé de ses tics habituels, Stallone campe un personnage plausible d'Américain débrouillard et Michael Caine joue avec son assurance habituelle.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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