Remarquable

La Fureur du juste (The Octagon)

Name: Fureur du juste, La
Director: Eric Karson
Genre: Drame policier
Duration: 103 min.

É.-U. 1980. Drame policier de Eric Karson avec Chuck Norris, Karen Carlson, Lee Van Cleef. Un expert en arts martiaux entreprend de démasquer une organisation mystérieuse à l'origine d'assassinats politiques à travers le monde. Intrigue passe-partout et fort peu crédible prétexte à démonstrations physiques. Développements banals. Mise en scène et interprétation guère convaincantes.

La Fureur du juste (The Octagon)

13 ans + (violence)

É.-U. 1980. Drame policier de Eric Karson avec Chuck Norris, Karen Carlson, Lee Van Cleef.

Un expert en arts martiaux entreprend de démasquer une organisation mystérieuse à l'origine d'assassinats politiques à travers le monde. Intrigue passe-partout et fort peu crédible prétexte à démonstrations physiques. Développements banals. Mise en scène et interprétation guère convaincantes.

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Genre :

Drame policier

Année :

1980

Durée :

103 min.

Réalisation :

Eric Karson

Scénario :

Leigh Chapman

Photographie :

Michel Hugo

Musique :

Dick Halligan

Montage :

Dann Cahn

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Vivafilm

Interprètes :

Chuck Norris
Karen Carlson
Lee Van Cleef
Art Hindle
Carol Bagdasarian
Tadashi Yamashita
Kurt Grayson
John Fujioka
Tracey Walter

Une organisation mystérieuse est à l'origine d'assassinats politiques à travers le monde. La fille d'une des victimes sollicite l'aide d'un expert américain en arts martiaux, Scott James, pour assurer sa protection et découvrir les assassins. Scott acquiert la certitude que les tueurs sont entraînés selon de vieilles traditions japonaises par un champion qui fut jadis son condisciple. Il entreprend de découvrir le site secret du camp d'entraînement et y parvient grâce à l'aide d'une transfuge.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Champion de karaté, Chuck Norris exerce sa spécialité dans des intrigues passe-partout où les incidents racontés sont surtout prétexte à démonstrations physiques. Rien de tout cela n'apparaît bien neuf ni bien intéressant, sauf pour un public gagné d'avance à de telles exhibitions. Des complications arbitraires viennent relancer l'intrigue à point nommé sans qu'on sente de conviction ni dans la mise en scène ni dans l'interprétation. L'écran ne s'anime que lorsque les coups pleuvent au long de bagarres convenues.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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