La Femme-enfant

Name: Femme-enfant, La
Director: Raphaële Billetdoux
Genre: Drame psychologique
Duration: 100 min.

Fr. 1980. Drame psychologique de Raphaële Billetdoux avec Pénélope Palmer, Klaus Kinski, Michel Robin. Une fillette mal aimée s'est attachée à un muet, jardinier au château du village. Scénario poétique. Traitement habile de l'ambiguïté. Mise en scène nuancée. Interprétation contrastée.

La Femme-enfant (La Femme-enfant)

Général

Fr. 1980. Drame psychologique de Raphaële Billetdoux avec Pénélope Palmer, Klaus Kinski, Michel Robin.

Une fillette mal aimée s'est attachée à un muet, jardinier au château du village. Scénario poétique. Traitement habile de l'ambiguïté. Mise en scène nuancée. Interprétation contrastée.

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Genre :

Année :

Durée :

Réalisation :

Pays :

France

Distributeur :

Prima Film

Interprètes :

Pénélope Palmer
Klaus Kinski
Michel Robin

Élisabeth, fille d'un barbier de village, approche de ses quatorze ans et fait montre d'aptitudes particulières pour la musique. À l'insu de ses parents, elle s'est attachée au jardinier du château, Marcel, un muet qu'on considère comme un simple d'esprit. Elle le rencontre tous les jours en se rendant à l'école et partage avec lui des jeux fantaisistes. Appelée à profiter d'une bourse d'études, Élisabeth quitte le village sans prévenir Marcel. Celui-ci en vient à se suicider et, à la suite de cet incident, le père d'Élisabeth découvre son secret.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La romancière Raphaële Billetdoux, auteur de "Prends garde à la douceur des choses", a aussi exercé le métier de monteuse. II n'est donc pas étonnant qu'elle montre tant d'affinité pour le médium de l'image dès son premier film. Si elle s'apparente à LA DRÔLESSE de Jacques Doillon, LA FEMME-ENFANT a pourtant ses qualités propres et son climat particulier de poésie rurale et de fantaisie fascinante. Le traitement joue habilement de l'ambiguïté de la situation et la mise en scène suggère finement les nuances nécessaires. La jeune Pénélope Palmer évolue avec naturel face à un Klaus Kinski inquiétant et pathétique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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