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L'Opéra de la terreur (Evil Dead)

É.-U. 1981. Drame d'horreur de Sam Raimi avec Bruce Campbell, Ellen Sandweiss, Betsy Baker. Après avoir découvert dans une cabane isolée des notes rédigées par un archéologue, des adolescents sont attaqués par un esprit malin. Scénario battant en rappel tous les clichés du genre. Effets grotesques et appuyés. Réalisation énergique et inventive. Interprétation plutôt exécrable.

13 ans + (horreur)
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L'Opéra de la terreur (Evil Dead)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 1981. Drame d'horreur de Sam Raimi avec Bruce Campbell, Ellen Sandweiss, Betsy Baker.

Après avoir découvert dans une cabane isolée des notes rédigées par un archéologue, des adolescents sont attaqués par un esprit malin. Scénario battant en rappel tous les clichés du genre. Effets grotesques et appuyés. Réalisation énergique et inventive. Interprétation plutôt exécrable.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
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Musique :
Montage :
Deux garçons et trois filles s'en vont passer quelque temps dans une cabane isolée au coeur des bois du Tennessee. Ils y trouvent des notes rédigées par un archéologue ainsi qu'un vieux livre d'incantations sumériennes. Ils font jouer un ruban magnétique où l'archéologue raconte des expériences pénibles et prononce certaines des formules incantatoires qui ont pouvoir de réveiller les démons de la forêt. Peu après, une des filles est envahie par un esprit malin et s'en prend à ses compagnons. On l'enferme dans la cave d'où elle lance des invectives pendant qu'un à un, les jeunes gens succombent à l'attaque des forces du mal. Le dernier survivant n'est pas au bout de ses peines.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tourné avec un budget dérisoire par des cinéastes débutants de Détroit, ce film d'horreur accumule sans vergogne les clichés les plus rebattus des productions du genre. Maquillages grotesques, effets appuyés, plaies sanglantes, mouvements désordonnés d'appareil, chocs gratuits, tout est mis en oeuvre pour agresser le spectateur par les moyens les plus grossiers. La technique est réduite à sa plus simple expression et l'interprétation est le plus souvent exécrable.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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