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Je hais les blondes (Odio le bionde)

It. 1980. Comédie de Giorgio Capitani avec Enrico Montesano, Corinne Cléry, Jean Rochefort. Un poète frustré qui écrit des romans pour le compte d'un auteur à succès inclut dans son dernier manuscrit des détails propres à faciliter un vol chez son employeur. Récit manquant de cohésion. Réalisation de métier. Effets d'un burlesque facile. Interprétation disparate.

Général
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Je hais les blondes (Odio le bionde)

Général Général

It. 1980. Comédie de Giorgio Capitani avec Enrico Montesano, Corinne Cléry, Jean Rochefort.

Un poète frustré qui écrit des romans pour le compte d'un auteur à succès inclut dans son dernier manuscrit des détails propres à faciliter un vol chez son employeur. Récit manquant de cohésion. Réalisation de métier. Effets d'un burlesque facile. Interprétation disparate.

Genre :
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Durée :
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Ciné 360
Emilio Serrantoni, poète frustré, est le nègre de Donald Rose, écrivain spécialisé dans le polar. Il tente en vain de faire publier ses oeuvres poétiques pour lancer sa propre carrière littéraire. Il lui faut pourtant poursuivre l'écriture d'un nouveau roman que Donald doit présenter à un éditeur américain. Il inclut dans le manuscrit des détails propres à faciliter le travail d'une jolie voleuse, Angelica, qui veut ouvrir le coffre de Donald au cours d'une réception. Ayant eu vent du projet, Emilio s'efforce d'y mettre obstacle.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Giorgio Capitani peut être classé dans la seconde équipe des auteurs de comédies à l'italienne. Le présent film n'est pas l'un de ses meilleurs. Il a assez de métier pour mettre suffisamment de mouvement et quelques touches de piquant dans diverses scènes, mais l'ensemble va plutôt cahin-caha et manque de cohésion. La séquence de la réception est assez bien troussée dans un ensemble où l'on a tendance à confondre le comique avec l'agitation. Jean Rochefort et Corinne Cléry assurent qui avec flegme, qui avec charme, la présence française auprès d'un comique burlesque qui fait penser à un Jerry Lewis se prenant pour Woody Allen.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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