Galaxina

Name: Galaxina
Director: William Sachs
Genre: Science-fiction
Duration: 84 min.

É.-U. 1980. Science-fiction de William Sachs avec Stephen Macht, Avery Schreiber, Dorothy Stratten. Au 31e siècle, des policiers et un robot de forme féminine luttent contre des criminels qui convoitent un énorme diamant. Pastiche rigolard sur des thèmes de science-fiction. Plaisanteries d'une lourdeur pachydermique. Réalisation plutôt pauvre. Interprétation ratée.

Galaxina (Galaxina)

Général

É.-U. 1980. Science-fiction de William Sachs avec Stephen Macht, Avery Schreiber, Dorothy Stratten.

Au 31e siècle, des policiers et un robot de forme féminine luttent contre des criminels qui convoitent un énorme diamant. Pastiche rigolard sur des thèmes de science-fiction. Plaisanteries d'une lourdeur pachydermique. Réalisation plutôt pauvre. Interprétation ratée.

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Genre :

Science-fiction

Année :

1980

Durée :

84 min.

Réalisation :

William Sachs

Pays :

États-Unis

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Stephen Macht
Avery Schreiber
Dorothy Stratten

Au début du 31e siècle, un astronef de la police patrouille dans l'espace. Son équipage se compose de cinq hommes et d'un robot de forme féminine surnommé Galaxina. Les policiers reçoivent mission de se rendre sur un astéroïde éloigné pour y récupérer un diamant énorme, l'étoile-bleue, que convoite aussi un puissant extra-terrestre, Ordric de la planète Nordric. Sur l'astéroïde, Galaxina et le policier Thor ont à lutter contre divers criminels et contre Ordric lui-même. Ils viennent pourtant à bout de leur mission.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Empruntant des éléments à diverses productions du genre, ce film se présente comme un pastiche rigolard sur des thèmes de science-fiction. L'humour n'y est pas des plus raffinés et le rythme se fait souvent languissant à travers des plaisanteries d'une lourdeur pachydermique. Quelques trucages retiennent l'attention mais le réalisateur semble avoir pris plaisir à souligner la pauvreté de divers effets. Les interprètes se débattent comme ils peuvent; Dorothy Stratten est inexpressive dans le rôle du robot alors qu'Avery Schreiber bouffonne outrageusement dans celui du commandant.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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