West Indies - Les nègres marrons de la liberté

Fr. 1979. Comédie musicale de Med Hondo avec Roland Bertin, Robert Liensol, Ti Emile. Sur un décor de caravelle, des comédiens, danseurs et chanteurs évoquent l'histoire du peuple de race noire des Antilles, marquée par l'esclavage et l'exploitation. Traitement stylisé. Ensemble vivant, entraînant le spectateur dans un tourbillon d'images et d'idées critiques. Lyrisme à l'emporte-pièce peu propice aux nuances dans l'interprétation.

West Indies - Les nègres marrons de la liberté (West Indies - Les nègres marrons de la liberté)

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Fr. 1979. Comédie musicale de Med Hondo avec Roland Bertin, Robert Liensol, Ti Emile.

Sur un décor de caravelle, des comédiens, danseurs et chanteurs évoquent l'histoire du peuple de race noire des Antilles, marquée par l'esclavage et l'exploitation. Traitement stylisé. Ensemble vivant, entraînant le spectateur dans un tourbillon d'images et d'idées critiques. Lyrisme à l'emporte-pièce peu propice aux nuances dans l'interprétation.

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Genre :

Comédie musicale

Année :

1979

Durée :

115 min.

Réalisation :

Med Hondo

Pays :

France

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Roland Bertin
Robert Liensol
Ti Emile

Sur un décor de caravelle, des comédiens, danseurs et chanteurs évoquent les étapes de l'histoire du peuple de race noire des Antilles. Depuis la traite des esclaves qui a peuplé les îles sous contrôle français ou anglais jusqu'à la propagande actuelle drainant vers la métropole la main-d'oeuvre à bon marché, on retrouve des schèmes constants d'exploitation.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Poursuivant un cinéma d'engagement politique, Med Hondo adopte cette fois une forme nouvelle, celle de la représentation stylisée des faits historiques par le biais de l'optique théâtrale. C'est un essai intéressant mais qui ne convainc pas toujours tant sur le plan de la forme que du fond. Le parti pris du décor unique nuit à la conviction. L'ensemble apparaît pourtant fort vivant et certains passages entraînent le spectateur dans un tourbillon d'images et d'idées critiques. Ce lyrisme à l'emporte-pièce ne laisse guère de place aux nuances dans l'interprétation.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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