Scum

Name: Scum
Director: Alan Clarke
Genre: Drame social
Duration: 96 min.

G.-B. 1979. Drame social de Alan Clarke avec Ray Winstone, Mick Ford, John Judd. Les tribulations d'un jeune délinquant qui séjourne dans une maison de redressement. Pamphlet dénonçant le climat brutal de certaines institutions pénitentiaires. Construction dramatique simplifiée. Style vigoureux d'un réalisme impitoyable. Acteurs peu connus mais fort convaincants.

Scum (Scum)

13 ans + (violence)

G.-B. 1979. Drame social de Alan Clarke avec Ray Winstone, Mick Ford, John Judd.

Les tribulations d'un jeune délinquant qui séjourne dans une maison de redressement. Pamphlet dénonçant le climat brutal de certaines institutions pénitentiaires. Construction dramatique simplifiée. Style vigoureux d'un réalisme impitoyable. Acteurs peu connus mais fort convaincants.

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Genre :

Drame social

Année :

1979

Durée :

96 min.

Réalisation :

Alan Clarke

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Kino Video

Interprètes :

Ray Winstone
Mick Ford
John Judd

Un adolescent, Carlin, est transféré, avec deux compagnons, dans une maison d'éducation surveillée. Sa réputation de mauvais sujet l'y a précédé, aussi s'efforce-t-il au début de rester calme et d'éviter les provocations tant des gardiens que des camarades. Il lie amitié avec un curieux garçon, Archer, qui affiche des convictions végétariennes ou athées pour le seul plaisir d'ennuyer les autorités. Carlin en vient à régler des comptes avec un rival et à asseoir son autorité sur ce petit monde de délinquants. Il entraîne ses camarades dans une mutinerie après le suicide d'un des garçons.

L’AVIS DE MEDIAFILM

À la suite d'une enquête sur les "borstals" (maisons de redressement anglaises), Alan Clarke avait réalisé pour la B.B.C. un film de télévision que le réseau refusa de programmer à cause de sa dureté. Le projet fut repris en entier pour le cinéma dans un style vigoureux, d'un réalisme impitoyable. Le film prend l'allure d'un pamphlet, tellement les déficiences de l'institution sont soulignées. Le récit ne présente que des arêtes vives dans une construction dramatique simplifiée dont l'impact est indéniable. Les acteurs sont peu connus mais fort convaincants.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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