Moyens détournés (Improper Channels)

Name: Moyens détournés
Director: Eric Till
Genre: Comédie satirique
Duration: 92 min.

Can. 1979. Comédie satirique de Eric Till avec Alan Arkin, Mariette Hartley, Monica Parker. Un couple momentanément séparé tente de reprendre sa fillette qu'une assistante sociale leur a soustraite sous prétexte de mauvais traitements. Vision satirique du fonctionnarisme. Fines trouvailles comiques. Ensemble contrôlé. Bonne interprétation.

Moyens détournés (Improper Channels)

Général

Can. 1979. Comédie satirique de Eric Till avec Alan Arkin, Mariette Hartley, Monica Parker.

Un couple momentanément séparé tente de reprendre sa fillette qu'une assistante sociale leur a soustraite sous prétexte de mauvais traitements. Vision satirique du fonctionnarisme. Fines trouvailles comiques. Ensemble contrôlé. Bonne interprétation.

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Genre :

Comédie satirique

Année :

1979

Durée :

92 min.

Réalisation :

Eric Till

Scénario :

Morrie Ruvinsky
Ian Sutherland
Adam Arkin

Pays :

Canada

Distributeur :

Saguenay

Interprètes :

Alan Arkin
Mariette Hartley
Monica Parker

Récompenses

Momentanément séparé de sa femme Diana, l'architecte Jeffrey Martley a un léger accident alors qu'il a la garde de sa fillette Nancy. Il transporte l'enfant à l'hôpital où une assistante sociale, Gloria Washbum, croit déceler des signes de mauvais traitements. En se servant de renseignements obtenus illégalement d'un ordinateur, celle-ci apprend que Martley a déjà été arrêté pour indécence publique. Elle entreprend alors de soustraire Nancy à ce père indigne. Jeffrey et Diana ont fort à faire pour reprendre la fillette et ces tribulations apportent une solution à leur mésentente conjugale.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Dans HOT MILLIONS déjà, Eric Till avait trouvé à s'amuser avec les ordinateurs. Il renouvelle l'expérience en y ajoutant une vision satirique du fonctionnarisme dans les agences sociales. Le récit se poursuit dans un esprit de folie contrôlée avec de fines trouvailles comiques dans les situations et les dialogues. Il y a rupture de ton en finale alors que l'on tombe dans l'extravagance burlesque, mais cette excroissance ne nuit pas outre mesure à l'ensemble. Alan Arkin compose avec adresse un personnage à la fois excentrique et sympathique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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