Le Trou noir (The Black Hole)

É.-U. 1979. Science-fiction de Gary Nelson avec Maximilian Schell, Robert Forster, Yvette Mimieux. L'équipage d'un vaisseau spatial découvre un astronef où vit un savant entouré de robots. Effets souvent réussis. Décors et trucages inventifs. Mise en scène plutôt conventionnelle. Interprétation acceptable.

Le Trou noir (The Black Hole)

Général

É.-U. 1979. Science-fiction de Gary Nelson avec Maximilian Schell, Robert Forster, Yvette Mimieux.

L'équipage d'un vaisseau spatial découvre un astronef où vit un savant entouré de robots. Effets souvent réussis. Décors et trucages inventifs. Mise en scène plutôt conventionnelle. Interprétation acceptable.

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Genre :

Science-fiction

Année :

1979

Durée :

97 min.

Réalisation :

Gary Nelson

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Maximilian Schell
Robert Forster
Yvette Mimieux

L'équipage d'un vaisseau explorant l'espace découvre à l'orée d'un trou noir, sorte de vortex galactique, un astronef censément disparu depuis vingt ans, le "Cygnus". Le seul être vivant à bord, le docteur Reinhardt, a survécu en s'entourant d'un équipage de robots et attend l'occasion pour aller explorer le trou noir. Il accueille d'abord aimablement ses visiteurs inattendus, mais ne tarde pas à donner des signes d'une mégalomanie dangereuse. Quelques-uns des astronautes échappent à son emprise mais sont entraînés dans le trou noir.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les studios Walt Disney sacrifient à leur tour à la vague de science-fiction provoquée par le succès de STAR WARS. Le résultat est un film de conception quelque peu naïve mais aux effets sophistiqués et souvent fort réussis. Il y a là des réminiscences de la version disneyenne de VINGT MILLE LIEUES SOUS LES MERS en même temps que des influences du cinéma d'animation, notamment dans la conception des robots. Un vétéran de la firme, Peter Ellenshaw, a conçu les décors et supervisé les trucages, faisant montre d'un bel esprit d'invention. Le réalisateur, pour sa part, semble s'être contenté d'une mise en scène ordonnée mais plutôt conventionnelle. L'interprétation est acceptable.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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