Le Maître-nageur

Name: Maître-nageur, Le
Director: Jean-Louis Trintignant
Genre: Comédie satirique
Duration: 90 min.

Fr. 1979. Comédie satirique de Jean-Louis Trintignant avec Guy Marchand, Stefania Sandrelli, Jean-Claude Brialy. À la suite d'un rêve, une femme pousse son mari à se présenter au poste de maître-nageur chez un richard. Entrée en matière fantaisiste et guillerette. Éléments bizarres. Recherches de style. Interprétation amusante.

Le Maître-nageur (Le Maître-nageur)

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Fr. 1979. Comédie satirique de Jean-Louis Trintignant avec Guy Marchand, Stefania Sandrelli, Jean-Claude Brialy.

À la suite d'un rêve, une femme pousse son mari à se présenter au poste de maître-nageur chez un richard. Entrée en matière fantaisiste et guillerette. Éléments bizarres. Recherches de style. Interprétation amusante.

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Genre :

Comédie satirique

Année :

1979

Durée :

90 min.

Réalisation :

Jean-Louis Trintignant

Scénario :

Vahé Katcha
Françoise Emion
Jean-Claude Emion
Robert Emion
D'après le roman de Vahé Katcha

Photographie :

Jean-Jacques Flori

Montage :

Henri Lanoë

Pays :

France

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Guy Marchand
Stefania Sandrelli
Jean-Claude Brialy
Jean-Louis Trintignant
Moustache
Christian Marquand
François Perrot
Serge Marquand
Jacques Ramade
Jacques Canselier
Cheik Doukouré

Les rêves de Marie ont coutume de se réaliser. C'est ainsi qu'elle épouse Marcel, un chanteur de charme, qu'elle avait d'abord vu en songe. Elle pousse ensuite son mari à se présenter au poste de maître-nageur à la villa du richissime Zopoulos parce qu'un autre rêve lui a fait voir de l'or au fond de la piscine. Marcel obtient l'emploi, mais il doit se plier aux curieux caprices de son patron, caprices qui lui sont transmis par un étrange maître d'hôtel. Il finit par participer à un concours d'endurance pour gagner la fortune de Zopoulos.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour son deuxième film en tant que réalisateur, Jean-Louis Trintignant poursuit dans la veine d'humour noir qu'il avait ouverte avec UNE JOURNÉE BIEN REMPLIE. Après une entrée en matière fantaisiste et guillerette, les éléments du scénario deviennent de plus en plus bizarres et le tout s'achève dans une séquence cauchemardesque d'un comique grinçant. Même si cette dernière partie s'étire un peu en longueur, l'ensemble retient l'attention par ses recherches de style et sa persistance dans l'absurde. L'interprétation est accordée au ton du traitement.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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