Remarquable

International Prostitution: Brigade criminelle

Name: International Prostitution: Brigade criminelle
Director: Sergio Gobbi
Genre: Drame policier
Duration: 85 min.

Fr. 1979. Drame policier de Sergio Gobbi avec Laura Gemser, Jean-Louis Broust, Gabriele Tinti. Un policier poursuit jusqu'à Hong-Kong un souteneur qui a tué une prostituée. Scénario prétexte à scènes érotiques. Mise en scène banale. Interprétation indifférente.

International Prostitution: Brigade criminelle (International Prostitution: Brigade criminelle)

18 ans +

Fr. 1979. Drame policier de Sergio Gobbi avec Laura Gemser, Jean-Louis Broust, Gabriele Tinti.

Un policier poursuit jusqu'à Hong-Kong un souteneur qui a tué une prostituée. Scénario prétexte à scènes érotiques. Mise en scène banale. Interprétation indifférente.

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Genre :

Drame policier

Année :

1979

Durée :

85 min.

Réalisation :

Sergio Gobbi

Scénario :

Enrico Verasis
Sergio Gobbi

Photographie :

Jean Badal

Musique :

Thierry Geoffroy
Christian Villers

Montage :

Gabriel Rongier

Pays :

France
Hong-Kong

Distributeur :

Karim

Interprètes :

Laura Gemser
Jean-Louis Broust
Gabriele Tinti
Joëlle Guillaud
Sophie Boudet
Shirley Corso
Michael Schock
Yves Brainville

Un souteneur, Tony Marcone, tue accidentellement une prostituée d'origine birmane qui tentait de lui échapper. Lancé à sa poursuite, un jeune policier, Philippe Dega, retrouve Marcone à Amsterdam, mais celui-ci arrive à lui filer entre les doigts pour s'enfuir à Hong Kong. Dega est envoyé en Asie pour en ramener l'Italien que la police de Hong Kong a capturé. L'homme lui ayant de nouveau faussé compagnie, Dega se sert d'une demi-soeur de sa victime pour lui tendre un piège.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur Sergio Gobbi (qui se cache sous le pseudonyme d'Élie Blorovich) lorgne à la fois la série "Brigade mondaine", avec ses enquêtes policières assaisonnées d'érotisme, et la suite des BLACK EMMANUELLE à laquelle il a emprunté deux interprètes coutumiers. Avec sa succession monotone de captures et d'évasions, le récit apparaît vite d'une banalité navrante et se révèle un simple prétexte à la multiplication de scènes "sexy" dans un contexte exotique. La mise en scène ne casse rien et l'interprétation est indifférente.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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