Remarquable

Haine

Name: Haine
Director: Dominique Goult
Genre: Drame policier
Duration: 89 min.

Fr. 1979. Drame policier de Dominique Goult avec Klaus Kinski, Maria Schneider, Patrice Melennec. Un motard est traité de façon hostile dans un village où une fillette vient d'être tuée par une moto. Sorte de parabole sur l'intolérance. Mise en scène inégale. Un certain climat de suspense. Interprétation acceptable.

Haine (Haine)

13 ans +

Fr. 1979. Drame policier de Dominique Goult avec Klaus Kinski, Maria Schneider, Patrice Melennec.

Un motard est traité de façon hostile dans un village où une fillette vient d'être tuée par une moto. Sorte de parabole sur l'intolérance. Mise en scène inégale. Un certain climat de suspense. Interprétation acceptable.

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Genre :

Drame policier

Année :

1979

Durée :

89 min.

Réalisation :

Dominique Goult

Scénario :

Dominique Goult

Photographie :

Roland Dantigny

Musique :

Alain Jomy

Montage :

Jean-Claude Bonfanti

Pays :

France

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Klaus Kinski
Maria Schneider
Patrice Melennec
Évelyne Bouix
Katia Tchenko
Anne De Broca
Gérard Boucaron
Georges Werler
Paulette Frantz
Jean-Simon Prévost
Bernard Cazassus

Un motard vêtu de cuir blanc surgit dans un village. Il est en route pour un rallye et s'arrête à l'auberge locale. Il se heurte bientôt à l'hostilité des villageois choqués par le fait qu'une fillette vient d'être victime d'un accident causé par un autre motard. Alors qu'il va quitter l'endroit, l'étranger est traqué par un camionneur en furie qui endommage son engin. En attendant qu'on le répare, le motard s'attarde et se lie d'amitié avec une femme mal vue de ses voisins. L'homme finit par être roué de coups par la population.

L’AVIS DE MEDIAFILM

C'est la première oeuvre d'un nouveau cinéaste qui semble avoir beaucoup à dire sans toujours trouver la manière voulue pour ce faire. Son film se présente comme une parabole sur l'intolérance avec références christiques à la clé. Si l'auteur arrive à créer en certains passages un sensible climat de suspense, il tombe trop souvent par ailleurs dans la grandiloquence prétentieuse, notamment en conclusion. Klaus Kinski (WOYZECK) promène dans tout cela un air étrange de marginal privilégié.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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