Ciao, les mecs

Name: Ciao, les mecs
Director: Sergio Gobbi
Genre: Comédie dramatique
Duration: 100 min.

Fr. 1979. Comédie dramatique de Sergio Gobbi avec Gérard Hérold, Anne Lonnberg, Sergino. Un Italien habitant Paris tente de reconquérir sa compagne qui l'a quitté. Intrigue conventionnelle. Manque d'unité. Touches d'humour valables. Interprétation convaincante.

Ciao, les mecs (Ciao, les mecs)

Général

Fr. 1979. Comédie dramatique de Sergio Gobbi avec Gérard Hérold, Anne Lonnberg, Sergino.

Un Italien habitant Paris tente de reconquérir sa compagne qui l'a quitté. Intrigue conventionnelle. Manque d'unité. Touches d'humour valables. Interprétation convaincante.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1979

Durée :

100 min.

Réalisation :

Sergio Gobbi

Scénario :

Enrico Oldoïni
Sergio Gobbi

Photographie :

Jean Badal

Musique :

Paul-Jean Borowsky

Montage :

Gabriel Rongier
Robert Rongier

Pays :

France

Distributeur :

Films Mutuels

Interprètes :

Gérard Hérold
Anne Lonnberg
Sergino
Charles Aznavour
Michel Galabru
Dany Saval
Jean Piat
Roland Dubillard
Martine Sarcey
Daniel Russo
Carlo Nell
Christophe Lambert

Plaqué par sa compagne Nicole, Roberto cherche un peu de consolation auprès de ses amis, Italiens transplantés à Paris comme lui. L'exubérance de la bande le distrait un temps, mais il reste hanté par le désir de retrouver Nicole. Grâce à un jeune garçon déluré, Serge, il découvre sa retraite et apprend qu'elle a changé d'apparence. Il feint alors de la rencontrer pour la première fois et la courtise comme un soupirant. Nicole se prête au jeu et les amours reprennent. Mais Roberto est tourmenté par la crainte d'être stérile.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le début du film laisse croire que l'on s'oriente vers un tableau satirico-sympathique des Italiens à Paris. Puis, l'on retombe dans une intrigue sentimentale assez conventionnelle présentée sur un ton de fausse naïveté. À cela s'ajoutent des interruptions sporadiques, alors qu'un acteur connu vient faire un petit numéro passager dans le rôle d'un personnage pittoresque. Le film manque donc sérieusement d'unité mais s'avère pourtant assez attachant en dépit des ruptures de ton. L'interprétation est convaincante dans l'ensemble.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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