The North Avenue Irregulars

É.-U. 1978. Comédie policière de Bruce Bilson avec Edward Herrmann, Susan Clark, Barbara Harris. Un pasteur recrute cinq dames pour enquêter sur la fièvre du jeu dont sont victimes ses concitoyens. Situations invraisemblables. Mise en scène des plus conventionnelles. Interprètes peu inspirés.

The North Avenue Irregulars (The North Avenue Irregulars)

Général

É.-U. 1978. Comédie policière de Bruce Bilson avec Edward Herrmann, Susan Clark, Barbara Harris.

Un pasteur recrute cinq dames pour enquêter sur la fièvre du jeu dont sont victimes ses concitoyens. Situations invraisemblables. Mise en scène des plus conventionnelles. Interprètes peu inspirés.

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Genre :

Comédie policière

Année :

1978

Durée :

98 min.

Réalisation :

Bruce Bilson

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Edward Herrmann
Susan Clark
Barbara Harris

Le révérend Michael Lewis, veuf avec deux enfants, prend charge d'une église épiscopalienne dans une petite ville américaine. Il s'aperçoit vite que les citoyens sont en proie à la fièvre du jeu et que cette activité est sous le contrôle de la pègre. Comme il a pris position publiquement, des agents fédéraux sollicitent son aide pour trouver le quartier-général des criminels. Le pasteur recrute cinq dames de sa paroisse qui entreprennent une filature obstinée des collecteurs de paris.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le roman d'origine a pour auteur un pasteur qui semble occuper ses loisirs à imaginer des intrigues aussi farfelues qu'édifiantes. Le malheur c'est qu'une fois transposée au cinéma, l'aventure de ces dames d'oeuvres impliquées dans une enquête policière ne présente aucun air de vraisemblance et que le comique des situations apparaît outrageusement fabriqué. La candeur est poussée ici jusqu'à l'inconscience et le courage civique se teinte de ridicule. Une mise en scène des plus conventionnelles ne tire qu'un mince profit de la drôlerie de certains gags et les interprètes ne semblent guère inspirés par les personnages unidimensionnels qu'ils incarnent.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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