The Bad News Bears Go to Japan

É.-U. 1978. Comédie de John Berry avec Tony Curtis, Tomisaburo Wakayama, Jackie Earle Haley. Les joueurs d'un club de la petite ligue de baseball tentent de relever un défi lancé par une équipe japonaise. Suite trahissant l'esprit du modèle. Mise en scène conventionnelle. Technique valable. Interprétation satisfaisante.

The Bad News Bears Go to Japan (The Bad News Bears Go to Japan)

Général

É.-U. 1978. Comédie de John Berry avec Tony Curtis, Tomisaburo Wakayama, Jackie Earle Haley.

Les joueurs d'un club de la petite ligue de baseball tentent de relever un défi lancé par une équipe japonaise. Suite trahissant l'esprit du modèle. Mise en scène conventionnelle. Technique valable. Interprétation satisfaisante.

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Genre :

Comédie

Année :

1978

Durée :

91 min.

Réalisation :

John Berry

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Tony Curtis
Tomisaburo Wakayama
Jackie Earle Haley

Constatant qu'un défi lancé aux équipes américaines de baseball par un club japonais de la ligue des enfants n'a pas été relevé, les Bears de Californie se disent prêts à tenter l'aventure. Un imprésario en mal de notoriété, Marvin Lazar, se fait leur gérant, se procure des fonds et organise leur voyage au Japon. Il obtient même qu'un réseau de télévision américain s'engage à diffuser la joute finale d'une série engagée entre les Japonais et les Bears. Cela ne va pas sans incidents divers et une bagarre entre les jeunes joueurs risque de torpiller le projet.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Troisième épisode d'une série inaugurée par le film réussi de Michael Ritchie, THE BAD NEWS BEARS, cette production ne laisse pas de décevoir même si on peut la préférer au deuxième avatar. Les Bears ont retrouvé leur scénariste initial mais celui-ci n'a pas su renouveler vraiment le sujet et s'est contenté d'aligner des incidents disparates tablant sur la couleur locale ou sur les manigances faciles du gérant improvisé. Le réalisateur n'a plus eu que la ressource de réunir le tout avec un minimum de savoir-faire technique. Tony Curtis n'impressionne guère.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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