S.O.S. Concorde (Concorde Affaire '79)

It. 1978. Drame policier de Ruggero Deodato avec James Franciscus, Mimsy Farmer, Venantino Venantini. Après l'écrasement d'un avion, un journaliste américain découvre qu'une hôtesse de l'air est gardée prisonnière par des criminels. Imitation à rabais des films à catastrophe. Suite d'invraisemblances. Réalisation mouvementée. Interprétation acceptable.

S.O.S. Concorde (Concorde Affaire '79)

Général

It. 1978. Drame policier de Ruggero Deodato avec James Franciscus, Mimsy Farmer, Venantino Venantini.

Après l'écrasement d'un avion, un journaliste américain découvre qu'une hôtesse de l'air est gardée prisonnière par des criminels. Imitation à rabais des films à catastrophe. Suite d'invraisemblances. Réalisation mouvementée. Interprétation acceptable.

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Genre :

Drame policier

Année :

1978

Durée :

93 min.

Réalisation :

Ruggero Deodato

Pays :

Italie

Distributeur :

Cinépix

Interprètes :

James Franciscus
Mimsy Farmer
Venantino Venantini

Au cours d'un vol d'essai, un avion Concorde, devant assurer la liaison entre Londres et l'Amérique du Sud, s'écrase dans la Mer des Caraïbes à la suite d'un sabotage. Un journaliste américain, Brady, repère l'épave de l'avion au fond de l'eau près de la Martinique et découvre qu'une hôtesse de l'air qui a survécu à l'accident est gardée prisonnière par des criminels. La police locale n'ajoutant pas foi à ses dires, il libère lui-même la jeune femme et cherche, grâce à son aide, à éviter l'écrasement d'un autre Concorde.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le succès d'AIRPORT et de ses successeurs semble avoir excité l'envie de certains producteurs italiens qui ont entrepris des imitations à rabais. Ici, la catastrophe aérienne n'intervient qu'en début et fin de récit et le reste est rempli par une enquête rocambolesque où les invraisemblances abondent. Le film est assez mouvementé pour satisfaire un public point trop exigeant et la photographie tire profit du contexte martiniquais dans les scènes de poursuite. L'interprétation est acceptable sans plus.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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