Marie-Anne

Can. 1978. Drame de moeurs de Martin Walters avec Andrée Pelletier, John Juliani, Tantoo Martin. Au début du XIXe siècle, une jeune femme du Québec vient s'installer dans l'Ouest avec son mari. Inspiré d'un fait authentique. Assez bonne reconstitution d'époque. Mise en scène quelque peu statique. Interprétation satisfaisante.

Marie-Anne (Marie-Anne)

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Can. 1978. Drame de moeurs de Martin Walters avec Andrée Pelletier, John Juliani, Tantoo Martin.

Au début du XIXe siècle, une jeune femme du Québec vient s'installer dans l'Ouest avec son mari. Inspiré d'un fait authentique. Assez bonne reconstitution d'époque. Mise en scène quelque peu statique. Interprétation satisfaisante.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1978

Durée :

88 min.

Réalisation :

Martin Walters

Pays :

Canada

Distributeur :

Films Mutuels

Interprètes :

Andrée Pelletier
John Juliani
Tantoo Martin

Au début du XIXe siècle, Jean-Baptiste Lagimodière, trafiquant de fourrures à l'emploi de la Compagnie de la Baie d'Hudson, revient au Bas-Canada à la mort de son père, prend charge de la ferme familiale et épouse une amie d'enfance, Marie-Anne Gaboury. Celle-ci devine le désir de son mari de retourner dans l'Ouest et accepte de le suivre à Fort Edmonton, centre de la traite. Première femme blanche à s'établir dans ces parages, elle provoque par sa présence divers incidents et doit faire face à l'hostilité d'une Indienne qui fut jadis la maîtresse de Jean-Baptiste.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'inspirant de l'histoire authentique d'une femme qui fut la grand-mère de Louis Riel, le réalisateur a tourné un film non dénué de pittoresque mais qui manque un peu de mordant. La reconstitution des lieux et de l'époque apparaît assez convaincante grâce à l'utilisation des ressources d'un parc national et d'un fort servant de musée. La mise en scène s'avère quelque peu statique cependant et l'impact dramatique est gâté par des maladresses techniques. Les protagonistes ont un jeu satisfaisant.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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